
Du prestigieux Festival international des menteurs de Moncrabeau (et autres bonimenteurs politiques !)
Parmi les festivals sur lesquels il s'exhibe tous les étés pour faire parler de lui, il en est un qui est plus particulièrement cher à son cœur tant il lui est proche non seulement sur le plan géographique mais plus encore par la proximité spirituelle d'une thématique qui est sa règle de vie et la justification même de sa passion politique !
Je parle bien entendu de l'insurpassable

De la tartufferie des "trissotins" de la gauche morale ...
"Lui aussi avait ses phrases types
Et m'assommait de ses grands principes
Puis agissait n'importe comment
En vertu des grands sentiments"— Guy BEART Les grands principes, 1965.
Les incantations lyriques d'estrade, ardentes et passionnées, la main sur le cœur, du sémillant FLANBY, sur les grands principes idéologiques socialistes, mises au défi de leur application durant un quinquennat, la main sur le portefeuille, évoquent

Journaliste, c'était autrefois un sacerdoce et une passion ; dans une presse et des médias audiovisuels sous contrôle politique et économique des financiers progressistes, c'est désormais être le propagandiste-activiste d'une cause pour l'imposer à autrui.
Le syndicat de la magistrature et le PNF viendront remettre dans le droit chemin tout récalcitrant aux normes imposées par la "pensée unique" !
Suivant la définition savoureuse, spirituelle et imagée, qu'en fournit le plus compromis

Fin novembre, nous l'avions laissé parmi les factieux, les séditieux, les agitateurs en "gilets jaunes" dont il prétendait être la tête pensante pour renverser le régime et la république et les remplacer par un état autocratique dont il serait le Guide,
comme avait pu l'être son modèle Jean-Bedel BOKASSA Ier, Président de CENTRAFRIQUE de 1966 à 1976 et Empereur de cet état de 1976 à 1979.
Mais faute de diamants pour financer les opérations, comme d'habitude cet éternel

A la fois archétype et incarnation caricaturale de cette "caste de hauts fonctionnaires minée par l'entre-soi et les conflits d'intérêts",
BOZZO a persisté sans décence, morale ni remords à cotiser (entre sa sortie de l'ENA en 1980 et sa retraite le 15 mai 2017), avec le statut de "fonctionnaire détaché de la Cour des Comptes assurant les fonctions de Président de la République", à la caisse de retraite de cette Institution où il n'a servi effectivement que trois ans, pour empiler les pensions de

Le 5 avril 2006, à l'aube du majestueux envol de ce couple mythique vers les limbes de la petite histoire, les journalistes Marie-Eve MALOUINE et Carl MEEUS, publiaient chez FAYARD le premier opus de l'histoire consacré à Ségolène ROYAL et son compagnon BOZZO-le-CLOWN,
sous un titre inspiré : LA MADONE ET LE CULBUTO ou l'inlassable ambition de Ségolène ROYAL et François HOLLANDE
Un an plus tard, Ségolène triomphait de son compagnon en devenant la candidate de "gauche" qui affrontait Nicolas

Mieux que le plomb en or, la miraculeuse transmutation du plus mou d'entre les socio-démocrates en activiste écologiste enragé !
En cette période où :
- permanents syndicaux (dont le désordre social institutionnalisé est le fond de commerce et la raison d'être pour justifier leurs privilèges et leurs abus financiers),
- activistes-agitateurs professionnels, de tous bords, rêvant du "grand soir" et appelant de leurs vœux une VIe République dont ils seraient les maîtres,