En ce printemps 2025 totalement lunaire où le navire amiral, sans même un «capitaine de pédalo» à sa barre, emporté par le chaos des vents contraires, tangue sans cap au gré des marées, paradant pour donner encore l'impression de naviguer fièrement tel un trois mats en rade de Brest ou Saint-Malo, alors qu'il coule lamentablement à pic et sombre corps et biens avec à son chevet funèbre le FMI dans le rôle du croque-mort, les cales plombées par la trop grande lâcheté des technocrates qui le dirigent, soumis aux aspirations clientélistes des minorités progressistes "wokes" extrêmistes qui fondent leur légitimité sur leur appartenance aux communautés LGBTQIA++ au motif «implacable» qu'elles étaient, naguère, «opprimées», que reste-t-il des institutions fortes que nous avait légué le Général-de-Gaulle en 1958.
L'exécutif, moralement démonétisé et politiquement émasculé après la folle dissolution de 2024 qui l'a privé de toute assise législative, vit désormais dans un monde virtuel déconnecté des réalités, pensant encore exister en s'agitant comme un pantin désarticulé, exhibant sa vie privée chaotique dans des voyages officiels multipliés à l'étranger pour échapper aux soucis domestiques, continuant pourtant à tenir des propos incendiaires et provocateurs, attisateurs de haine entre le pays profond qu'il abhorre et les minorités communautaristes et religieuses dont il a  promu l'installation et l'expansion incontrôlées sur tout le territoire. Mettre en oeuvre une politique étrangère conforme aux préceptes édictés par les théoriciens du trotskisme-lambertisme, ses maîtres à penser Benjamin STORA et Jean-Michel BOUCHERON, historiens qui nient l'existence d'une nation historique et d'une culture françaises, réduite au rang de clairière ouverte aux quatre vents où se croisent et s'affrontent toutes les diversités et misères humaines, confrontant leurs religions et leurs cultures, pour laisser aux plus violents le soin de dominer provisoirement,  de définir de fragiles principes transitoires qui seront balayés et oubliés avant même que de pouvoir être appliqués !

La seule ligne de conduite rationnelle que l'on concèdera à cette politique du Chef de l'Etat, c'est son adhésion personnelle et sincère aux principes de «l'intersectionnabilité des luttes" mélenchonnienne, censée rassembler toutes les minorités, par principe opprimées et discriminées, [racisme, sexisme, homophobie, transphobie, islamophobie, etc ...], qui s'articulent et se renforcent mutuellement pour détruire l'ancienne civilisation gréco-latine de morale chrétienne et fonder la nouvelle sur les valeurs "wokistes" révolutionnaire de gauche extrême. Il participe à ce mouvement à titre de membre éminent et porte drapeau du  communautarisme LGBTQIA++, avec le souci constant de promouvoir sa "chapelle", tant par la nomination privilégiée et systématique de ses membres aux postes clés de la République, que par une action quotidienne pour les populariser dans le quotidien du pays, comme il le fait pour les "Marches des Fiertés", désormais subventionnées par l’État et les collectivités publiques [financée avec l'argent public par l'Etat, la Région Ile-de-France, la Mairie de Paris et la RATP, l'affiche de l'évènement rassemble une population immigrée bigarrée repérsentative de tous les continents, avec une femme musulmane voilée, un drapeau palestinien, un couple de lesbiennes, des pédérastes en action, qui exécutent par pendaison avec sa cravate un mâle blanc hétéro de plus de 50 ans, tatoué d'une croix celtique "fasciste" à son cou, autour du slogan macronien : «Contre l'Internationale réactionnaire, "Queers" de tous les pays, unissons nous !»], dans la lignée prophétique des cérémonies d'ouverture et de clôture des "Jeux Olympiques" de PARIS, dont il confia l'organisation aux activistes les plus extrémistes,  à la fois "Manifeste" et  démonstration éclatante des vertus supérieures de cette idéologie novatrice christianophobe.
Le gouvernement, dirigé par un centriste à la mollesse légendaire,  qui a toujours soutenu le principe qu'un gouvernement devait plutôt renoncer à toute tentation réformiste que provoquer l'expression de la moindre colère ou insatisfaction, n'existe pas tant il est issu de partis politiquement opposés qui ne partagent aucun principe programmatique commun. D'ailleurs, il n'a aucune majorité législative pour gouverner et son rôle est de simple figuration !
Quant au pouvoir législatif, constitué de trois blocs opposés incapables de constituer la moindre majorité, c'est devenu - de par l'alliance négative de l'extrême gauche antisémite et violente et le parti progressiste présidentiel - une cour de recréation dont les séances constituent une assemblée générale étudiante en fusion, avec les orateurs qui se distinguent par la grossièreté des insultes qu'ils profèrent et l’inanité de leurs propos  !
Heureusement, rôdent encore dans l'ombre les fantômes des deux monstres wokes et progressistes qui ont détruit le pays : l'un, ancien Président de la République, dit Bozo le Clown 🤡, entretient depuis mai 2017 le projet obsessionnel de revenir, comme le Président TRUMP, au pouvoir pour se venger du crime de ceux qui l'ont trahi et leur en faire payer le prix ; le second, son fils naturel, "Brutus" réincarné qui a tué son père pour voler sa place, ne peut viser constitutionnellement une réélection : alors, il se rêve unificateur des pays européens pour en prendre la première Présidence, usant à la fois de sa totale soumission aux pays musulmans et en particulier à l'Algérie pour le soutenir dans sa croisade poussée jusqu'aux limites de l'antisémitisme mélenchonien trotskiste, et de la RUSSIE Poutinienne, dans le rôle du repoussoir qui permettra aux européens de s'unir en une seule nation, à l'exemple de ce que le Chancelier prusse BISMARK avait réalisé en 1870 pour l'unité allemande !

Bozo le Clown 🤡 : la conquête du Parti Socialiste

Le printemps 2025 revêtait pour lui une importance stratégique dans son opération de reconquête du pouvoir, puisque était organisé le "Congrès" décisif du Parti Socialiste, dont le vainqueur tiendrait les commandes lors des prochaines présidentielles.
Du fait de son impopularité et de la lâcheté consubstantielle inhérente à toutes ses prises de position marquées du seul et unique sceau de son intérêt personnel, il œuvrait depuis des lustres - au mépris de sa nature profondément exhibitionniste - en silence et souterrainement, avec le concours constant et jamais démenti de ses soutiens médiatiques (produits par la société MEDIAWAN : toutes les émissions politiques de service public de FRANCE TELEVISION,  de FR5 en particulier avec Patrick COHEN, Marie-Elisabeth LEMOINE, Laure ADLER, Karim RISOULI, et cie, mais aussi de groupes privés BOUYGUES avec RMC et le QUOTIDIEN de Yann BARTHÈS & JM APHATIE associés, le BFM TV de la népotique famille DUHAMEL [qui vient de conquérir le service information de FR2 et propulser son cadet Benjamin aux commandes de la matinale de FRANCE INTER avec Alah SALAME], et bien sûr le «Ministère de l'Education du Peuple et de la Propagande progressiste»,  RADIO FRANCE,  service public entièrement financé par le budget public, qu'il avait organisé durant son quinquennat sur le modèle novateur défini par Joseph GOEBELS.
L'opération menée avec beaucoup de soins consistait à prendre la tête du "Parti Socialiste" en soutenant le Maire de sa ville de naissance, ROUEN, le jeune Nicolas MEYER ROSSIGNOL, dévoué à sa cause et bénéficiant du soutien de la communauté LGBTQIA++ (comme sa commande avortée de l'organisation de la célébration du 14 juillet 2025 dans la ville au groupe théâtral «Thomas JOLY et ses "drag queens"» pour le montant modeste de 1.1 millions d'€ en apportait la preuve). Et malgré l'activisme des survivants de l'ère maudite 2012-2017, qui avaient signé la dissolution du pays, le résultat du vote des quelques adhérents subsistant était consternant :

• Olivier FAURE, Premier secrétaire sortant, homme-lige de Jean-Luc MELENCHON et de LFI, partisan du "Guevara des Calanques" - promoteur de l'Alliance Bolivarienne et "caniche de Poutine" : 50, 9%
• Nicolas MEYER-ROSSIGNOL, Maire de Rouen, homme-lige de BOZO-le-CLOWN et partisan de la rupture avec LFI : 49,1%

Une contrariété certaine pour qui nourrit d'aussi nobles ambitions pour son avenir, et dont les manœuvres affligeantes mais sans cesse reïtérées, connaissent un nouvel échec. Mais l'ambition est une addiction indestructible que rien ne saurait entamer : alors, après cet arrêt, il va falloir construire une nouvelle stratégie de conquête du pouvoir, s'appuyer encore une fois sur les médias et le "Syndicat de la Magistrature", et lancer de nouvelles razzias décisives pour s'en emparer.
Après tout, TRUMP aux États-Unis est revenu triomphalement au pouvoir à 78 ans ; MELENCHON, son rival principal, fêtera dans son "Harem oriental" ses 74 ans le 19 août prochain, entouré de Sofia CHIKIROU et Rimah HASSAN, ses favorites ;  alors que lui, Bozo le Clown 🤡, toujours jeune, fringant, séducteur patenté d'intermittentes du spectacle, aussi rayonnant qu'une centrale atomique en fusion, n'atteindra ses 70 ans que le 12 août 2025.
Tout l'avenir est devant lui, il ne rendra jamais les armes.

Le Grand Sorcier de la Pluie

Comme pour tous les sportifs ambitieux confrontés aux limites étroites de la réalité de la humaine, il faut revenir et s'appuyer sur les bases solides qui ont fait leur succès passé, aux "fondamentaux" qui constituent le socle de leur force intérieure. Et pour Bozo le Clown 🤡, ces qualités sont triples et lui sont reconnues :

• le "MENSONGE" d'abord, puisqu'il est un maître incontesté dans cet art délicat appris de son maître corrézien Henri QUEILLE, qui a théorisé le principe : «Les mensonges n'engagent que ceux qui les écoutent !»
• "Goujat, cuistre, mufle, malotru" dans ses relations avec ses maîtresses : l'incroyable comédie de sa relation avec Julie GAYET, rue du Cirque !, et du licenciement par simple télégramme à l'AFP de Valérie TRIERWEILLER qu'il avait installée à l'Elysée : «J'ai mis fin à ma vie commune avec Valérie Trierweiler» ont beaucoup marqué les esprits et nourri son immense popularité (il attire plus de spectateurs sur les routes à son passage que la caravane et les coureurs du "Tour de France", confiait modestement Julie GAYET dès le mois de Juillet 2017 !)
• «Le sorcier de la pluie» : dans un bilan catastrophique et dans le chaos qu'il a semé dans le pays, ce don, miraculeux et inné, restera à jamais son signe distinctif le plus honorable.
  De son investiture le 15 mai 2012 avec triomphe romain sous les averses abondantes tombant sur les Champs Elysées, puis avion foudroyé en plein vol alors qu'il se rendait à Berlin présenter ses lettres de créance à la Chancelière allemande, en passant par la noyade en direct lors de son déplacement à l'Ile-de-Sein en 2014 pour honorer la mémoire des marins-pêcheurs qui avaient les premiers répondu à l'appel à la résistance du Général-de-Gaulle et l'avaient rejoint à LONDRES, tout son quinquennat 2012-2017 ne fut que longue litanie de pluies et d'inondations.
Au point que pour les africains, Bozo le Clown 🤡 a le statut d'esprit surnaturel, de grand sorcier coutumier capable par ses bouffonneries, ses "blagounettes", ses grimaces, ses mensonges, ses épopées motocyclistes et ses formules incantatoires pour dénoncer le "monde de la finance", de réaliser des miracles inatteignables au commun des mortels.
D'ailleurs, à chacun de ses déplacements en Afrique-de-l'Ouest francophone sub-saharienne, (où il a sacrifié la vie de 53 jeunes militaires pour les protéger de la prise de pouvoir islamiste), avant que son successeur ne s'en fasse ignoblement ostraciser par suite de ses dérives sexuelles et autres dépravations LGBTQIA++, culturellement inacceptables dans ces pays musulmans, il est accueilli par le refrain de la chanson de François Feldman :

 « Fais tomber la pluie, sorcier de la nuit,
Fais tomber la pluie, pour sauver la vie ! »

Alors, pour revenir aux sources de son succès politique, labourage du terrain électoral et pâturage des qualités humaines qui lui sont généreusement prêtées ; député de la première circonscription de la Corrèze sous l'étiquette "NFP" avec l'appui de Jean-Luc MELENCHON, aux côtés de Manuel BOMPARD, Mathilde PANOT, Louis BOYARD, du "black bloc Raphaël ARNAULT, Sébastien DELOGU, Ersilia SOUDAIS, Thomas PORTES, Antoinette LEAUMENT, sur les mêmes bancs qu'Aymeric CARON, Sardine RUISSEAU, Marine TONDELIER et autres gloires éternelles de l'extrême-gauche progressiste, antisémite et violente, il a fait l'effort de se laisser traîner par sa compagne au "Stadium de Brive" le 30 mai 2025, pour présider la 1/2 finale du Championnat de France de PRO D2 entre son équipe favorite du CA BRIVE et la modeste équipe de l'US MONTAUBAN, réputée n'avoir aucune chance de succès tant le déséquilibre des forces était flagrant.
Et bien voilà, comme pour MEYER ROSSIGNOL, grâce à l'appui de Bozo le Clown 🤡, malgré l'énorme différence de budget entre les deux clubs, de notoriété entre les joueurs, et du résultat des précédentes rencontres, à la surprise générale c'est MONTAUBAN qui l'emportait sur le score sans appel de 29 : 13, bien que jouant sur le terrain adverse, avec plus de 15.000 supporters + Bozo le Clown 🤡 entièrement dévoués à l'équipe briviste.

Comme pour la FRANCE entre 2012 et 2017, une nouvelle manifestation du miraculeux :

«EFFET BOZO LE CLOWN 🤡»

LA FRENESIE CONVULSIVE DES CAPRICES DE L'ENFANT GATE

Du côté de la descendance indigne, celle qui a assassiné le Père pour s'emparer du trône, la situation se présente-t-elle sous un jour plus favorable ?
Pas évident semble-t-il !
D'abord, n'ayant pas la possibilité constitutionnelle d'être candidat à un troisième mandat successif, il a perdu évidemment beaucoup de son autorité jupitérienne et les ambitieux s'agitent dans la «cour» dévouée des "gitons présidentiels" pour prendre la suite et "tuer le père" ; en particulier, les anciens premiers ministres, ceux qu'il a sortis de l'ombre et projeté dans la lumière de son soleil, n'ont plus de mots assez durs et de critiques assez acerbes pour qualifier la politique qu'ils conduisaient eux-mêmes en tant que chef du gouvernement sous son autorité !
Edouard PHILIPPE, aussi mou que son maître à penser Alain JUPPE, et le "giton" Gabriel ATTAL, qui a fait le succès de LFI, sont en tête de la meute pour la curée finale.
Ayant perdu tout pouvoir par sa décision précipitée de dissolution de l'assemblée nationale après son échec lors des élections européennes, face à une assemblée nationale ingouvernable car dépourvue de majorité animée par les excès révolutionnaires, la passion "woke" et la haine antisémite des trotskistes de LFI et des écologistes, face à un gouvernement très provisoire qui, pour ne pas tomber, est tenu de ne rien faire, o'MICRON s'est recentré sur son domaine "réservé" de politique étrangère qu'il mène librement, secondé par un ministre des affaires étrangères ectoplasme, modèle incarné du technocrate insipide, inodore, incolore qui ne sait faire autre chose qu'obéïr aux caprices de l'enfant gâté ; son action se développe sur les trois axes habituels définis par les historiens trotskistes-lambertistes auxquels il a confié l'action diplomatique de la France.

• La soumission totale, absolue et intangible à l'ALGERIE

  en dénonçant évidemment publiquement, dès 2017, comme CRIME CONTRE L’HUMANITÉ la politique de colonisation menée par la FRANCE en ALGÉRIE dans la première partie du XIXème siècle, en marquant en toute occasion repentance et en renouvelant sa soumission  envers cet état totalitaire dirigé par une dictature militaire, fut-ce au prix, pour lui complaire, de mener, une politique antisioniste teintée d'antisémitisme par l'interdisant de défendre le principe même de son existence et de résister aux pogroms menés par les islamistes du "Hamas" contre sa population civile (femmes violées et assassinées, enfants égorgés), en s'interdisant de participer, pour ne pas s'aliéner la sympathie des centaines de milliers d'algériens illégalement immigrés en France et auteurs de délits divers et répétés, à la manifestation organisée en hommage aux victimes innocentes de ces pogroms !
  Dans l’infamie, il s'abaisse jusqu'à mener une politique tellement hostile à ISRAEL que le Premier Ministre de ce pays la qualifie de "croisade contre Israël", menée en son nom propre, sans concertation avec un ministre des affaires étrangères totalement inexistant, ni la moindre consultation du Parlement. Mais il a, c'est évident, le soutien du parti antisémite extrêmiste LFI, notamment de ses têtes de pont en la matière, Aymeric CARON, David GUIRAUD, Rimah HASSAN, Sofia CHIKIROU, Ersilia SOUDAIS et Jean-Luc MELENCHON en personne.
  En se refusant de réagir au refus des dirigeants de cette dictature communiste de réadmettre sur leur territoire leurs nationaux, illégalement immigrés en France pour fuir la misère, et auteurs de crimes et délits qui ont provoqué leur condamnation judiciaire et leur expulsion du territoire national ; et, dans cette relation sado-masochiste, accepter sans broncher et en se couchant devant elle que la dictature arrête et prenne en otage un grand écrivain français, Boualem SANSAL, âgé de 80 ans et souffrant d'un cancer, condamné sans avoir le droit d'être assisté par son avocat, au motif qu'il est de religion juive ; ou bien émette deux mandats d'arrêt contre un autre écrivain français, Kamel DAOUD, au motif qu'il a osé décrire de manière réaliste le quotidien d'un citoyen algérien, qui n'a pas eu l'heur de plaire aux bourreaux corrompus algériens, dans un ouvrage de grande qualité pourtant couronné par le Prix Goncourt.

• Le soutien à l'Ukraine et la guerre hybride menée par la Russie contre la France

  Bien que le dictateur algérien, TEBBOUNE, ait qualifié publiquement au mois de juin 2023 lors du "Forum économique de Saint Petersbourg" le Président russe « d'ami de l'humanité » après sa tentative d'invasion et d'annexion de l'UKRAINE, o'MICRON, qui projette dans une Présidence européenne la suite de sa carrière politique, décèle dans ce conflit une occasion historique de précipiter l'unité européenne - qu'il appelle de ses voeux - en s'opposant frontalement aux visées hégémoniques russes.
  Pour ce faire, tous les moyens sont bons, et il égale dans la démesure et l'excès d'une communication irresponsable les meneurs ultranationalistes totalement déconnectés des réalités du terrain que sont Dmitri MEDVEDEV, vice-président du conseil de sécurité, où le lamentable Vladimir SOLOVIEV, provocateur du régime, qui menace toutes les capitales européennes de disparaître sous le feu nucléaire !
  Dans cet affrontement des "ego", devenu "guerre hybride", il est évident que tous les coups bas sont permis et qu'o'Micron et la France y laissent quelques plumes :
  1. La perte d'influence et l'expulsion humiliante de nos forces armées d'Afrique de l'Ouest sub-saharienne : dans ces pays musulmans rigoristes, où les islamistes sont à l’œuvre pour un strict respect de la "charia", il est évident que tous les dévoiements de l'homosexualité et les excès en tout genre LGBTQIA++ constituent des délits poursuivis et condamnés publiquement, parfois de la peine capitale. L'exemple du Chef de l'Etat, de sa cour de "petits gitons", comparable à la cour qui entourait Henri III, notamment au moment de la nomination de Gabriel ATTAL au poste de premier ministre et la promotion de son "compagnon" Stéphane SEJOURNE au poste de Ministre des Affaires Étrangères, si elles sont passées totalement inaperçues sur le territoire national, ont heurté beaucoup de sensibilités dans ces pays.
     Alors que notre pays avait sacrifié la vie de 53 de ses jeunes soldats pour les préserver d'une invasion islamiste, venue du nord, il fut cependant expulsé de ces pays et ses forces militaires ostracisées alors que des sommes colossales des ressources nationales avaient été investies pour respecter les accords militaires signés avec ces anciennes colonies.
     Et la Russie n'eut qu'à prendre la place laissée, au moyen de sa milice poutinienne fasciste, WAGNER, dont le leader - lorsqu'il prit trop d'importance - fut éliminé par POUTINE
  2. La guerre hybride informationnelle : l'affaire FLEMMING à ST BARTHELEMY.
     L'ELYSEE accuse également le KREMLIN d'entretenir une guerre informationnelle permanente à son encontre pour l'affaiblir et le déconsidérer.
     Ainsi, le 27 septembre 2018, il se rendait sur l'Ile de Saint Martin aux Antilles, dévastée un an plus tôt par le cyclone Irma, pour contrôler les travaux de reconstruction. Dans l'un des quartiers les plus pauvres de l'Ile, il rencontrait les frères et s'entretenait avec les frères FLEMMING : l'aîné, "Reauf" coiffé d'une bandana, venait d'être libéré de prison après une condamnation pour vol à mains armées ; le cadet, Dimitri, torse-nu et très tactile avec le Président, faisait un doigt d'honneur en enlaçant le Président ! Ce manque de respect faisait évidemment réagit en France !
     Ces dernières semaines, soit sept ans après des faits totalement oubliés, un reportage d'un journal africain met en vedette "Reaulf" FLEMMING : il indique qu'il travaille désormais en AFRIQUE, dans le cadre de la lutte qu'il mène contre le SIDA. Il indique que son frère, Dimitri, homosexuel sans limite, est décédé de cette infection et qu'il avait commis la folie d'avoir des relations avec le Président de la République française bien que déjà gravement malade !   Lire l'article d'Armand DJALEU du 30 Mars 2025 dans ACTU CAMEROUN.
     La communication présidentielle classe cet article au rang de l'habituelle désinformation russe à laquelle aucune attention ne doit être prêtée ! Mais au vu des photos réalisées de l'évènement par les journalistes accrédites, et notamment des regards langoureux remplis de passion et de tension sexuelle entre feu Dimitri FLEMMING et le Président français, félicitons le renseignement russe et l'intelligence artificielle pour la qualité et le naturel du travail réalisé !.
  3. La gifle "maternelle" : le 25 mai, le Président entreprend un voyage officiel de deux jours en Asie du Sud-Est et débute sa visite par un séjour au Viet-Nam ; pour l'accueillir sur le tarmac de l'aéroport, les officiels de deux pays bien entendu, et les chaînes de télévision pour immortaliser l’événement. Lorsque la porte de l'avion est ouverte par un membre de l'équipage, on voit le Président, de profil derrière la porte, qui discute avec une personne cachée. Et soudain, celle-ci lui porte ou le repousse d'un coup violent au visage. Le Président reste figé un court instant, puis, apercevant les caméras, fait un geste amical de la main. Apparaît à la lumière son épouse, qui était l'interlocuteur cachée, et lors de la descente de la passerelle, refuse de prendre le bras qu'il lui présente.
     
     Un communiqué de l’Élysée explique d'abord qu'il s'agit, à nouveau, d'un film falsifié par intelligence artificielle par les services russes ; puis se reprend au motif que le film est bien réel, mais qu'il s'agit comme ne cessera de le clamer le Président « C’est une vidéo où je plaisante avec mon épouse, je suis surpris que cela devienne une catastrophe géoplanétaire.»
     Impossible de se prononcer bien entendu, mais drôle de plaisanterie entre une dame de 72 ans et son mari de 44 ans, même si l'on sait que leurs relations sont particulières. En tout cas, pourquoi avoir impliqué la désinformation des services russes ? Pas très sérieux tout cela, bien que l'information, abondamment diffusée au niveau planétaire et même commentée par le Président des Etats-Unis en personne, ait donné lieu à l'efflorescence de "memes videos internet", crées par intelligence artificielle cette fois, mais tout à fait savoureux !

Quels que soient les tenants et les aboutissants, comment ne pas rapprocher ce voyage présidentiel dans le sud-est asiatique du couple présidentiel avec celui effectué par le Général-de-Gaulle, et son épouse Yvonne, en 1966. D'admirer la dignité, le sens de la mesure, de l'honneur et de l’État dont ils avaient fait preuve, notamment lors du prophétique discours prononcé dans le stade olympique de Phnom-Penh, la capitale cambodgienne, où il dessinait une voie de la sagesse et de l'apaisement pour l'avenir de cette partie du monde déchirée par des conflits sanglants.
Parodiant la célèbre remarque de FILLON lors de la campagne pour la primaire de désignation du candidat LR à la présidentielle 2017, (avant que le Syndicat de la Magistrature ne mette un terme à ses ambitions), comment éviter que ne vienne à l'esprit cette remarque au spectacle lamentable et dégradant offert par le Chef de l'Etat : «qui pourrait imaginer le Général-de-Gaulle giflé par Yvonne au sortir de l'avion sur l'aérodrome du pays hôte ?».
Un autre temps, un autre siècle évidemment, alors que la FRANCE était respectée parce qu'elle était respectable et respectait ses hôtes, que ses dirigeants n'étaient pas encore formés dans une école du cirque, et que le cortège présidentiel n'était pas composé d'une cour servile de "gitons" LGBTQIA++ et de "drag queens" en représentation permanente !.

Romance à ST BARTHELEMY ?

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