Journaliste franco-américain, Frantz-Olivier GIESBERT (souvent abrégé en «FOG») est un journaliste, éditorialiste, présentateur de télévision et écrivain à prestigieuse carrière, puisqu'il a dirigé les rédactions du NOUVEL OBSERVATEUR et du POINT, dirigé l'hebdomadaire LE POINT dont il est toujours éditorialiste, et la direction éditoriale de LA PROVENCE, depuis qu'il a choisi de vivre à MARSEILLE.
Grand connaisseur de la vie politique française, il a publié de nombreux ouvrages, dont certaines biographies consacrées à François MITTERRAND ou à Jacques CHIRAC, dont il était devenu un intime dans leur vie privée, sont devenus de grands classiques. Toujours éditorialiste, il est un invité recherché et privilégié des grands entretiens sur les radios d'information nationales, et donne toujours son avis avec beaucoup de franchise. Le 9 avril 2022, reçu par Sonia MABROUK dans «la grande interview» sur EUROPE 1 il est interrogé sur la présidence MACRON, lui qui a parfaitement connu professionnellement et écrit sur tous les présidents de la Vème République. Volontairement modéré, son jugement sur le «MOZART de la finance» (ndlr : on n'a pas encore découvert que sa politique du "quoi qu'il en coûte» avait totalement et définitivement ruiné le pays pour plusieurs générations) est d'une extrême acuité, comme le prouvera la suite de son mandat et défini parfaitement le personnage élu par le français pour deux quinquennats :

je pense que hélas, on peut pas se raccrocher au Président ! Parce que c'est un danseur de claquettes, je crois qu'on a élu un danseur de claquettes, il fait des claquettes, voilà, il fait de la COM.
Bon, c'est un peu méchant ce que je dis, mais c'est la vérité : comment est-ce qu'on peut faire confiance à quelqu'un qui a un ministre de l'éducation nationale qui s'appelle Blanquer (ndlr : issu de LR) dans un premier mandat, et qui a un autre ministre de l'éducation nationale Pap Ndiaye dans le second ?(ndlr : trotskiste-lambertiste proche du commissaire politique, agent infiltré FLN algérien, Benjamin Stora ?
Enfin y a quelque chose qui nous échappe la : tout ça n'a absolument aucune cohérence ! Et c'est pas du en même temps, c'est du n'importe quoi !
Oui on voit bien, je pense qu'il y a quelque chose, on voit bien, il y a un problème de colonne vertébrale qu'il faudrait qu'il se fasse greffer, et peut-être que ça irait mieux et peut-être que son rapport aux français serait plus facile …

Bien que le bilan de trois ans de gouvernement se révèle une véritable tragédie historique avec un effondrement de la situation intérieure et extérieure du pays,  tel qu'il aura bien du mal à s'en relever au point que la plupart des experts estiment que la situation de non retour est atteinte, au point que la politique économique devra passer sous contrôle d'une organisation économique internationale, le FRONT MONETAIRE INTERNATIONAL qui devra intervenir et imposer une purge pour permettre au pays d'obtenir les financements indispensables, un seul domaine a échappé au massacre :

 

En travaux 

NOTES DE PREPARATION : ARTICLE NON FINALISE, EN-COURS DE REDACTION !

 

• La prise de contrôle de «l’État profond» par la mouvance trotskiste au terme de plusieurs décennies d'infiltration, d'entrisme, et de manipulation

Après mai 68, le paysage politique français a été marqué par la persistance et transformation du courant gauchiste. de nombreuses organisations, issues mouvance soixante-huitarde, ont continué d'exister d'évoluer, parfois en se radicalisant, d'autres fois diluant dans des mouvements plus larges ou tournant vers activités ciblées. voici quelques exemples d'organisations courants qui émergé sont développés après 1968 : notamment décennie soixante-dix, les groupuscules d'extrême-gauche pullulaient s'activaient, idéologiquement divisés -  entre :

• Les mouvements maoïstes:
  

  

  Des groupes comme la Gauche prolétarienne (GP :autour de Jean-Paul SARTRE, son journal LA CAUSE du PEUPLE, et le quotidien LIBERATION qu'il avait fondé avec Serge JULY) ou Vive le communisme (VLC) ont prôné une forme de lutte armée et se sont inspirés de la révolution culturelle chinoise. A l'exemple de l'ALLEMAGNE avec la "Fraction Armée Rouge" (dite "Bande à Baader"), de l'ITALIE  avec les "Brigades Rouge", elle se manifeste en FRANCE autour du groupe "ACTION DIRECTE" qui mène la guerre contre «l'Etat capitaliste» au moyen d'assassinats ciblés et d'actes de terrorisme, plongeant l'europe occidentale pendant quinze ans dans les «années de plomb».
  C'est pour combattre leur organes de propagande, sans cesse renaissants après dissolution, que le Ministre de l'Intérieur français fit voter par le Parlement une loi soumettant la création des associations à une autorisation judiciaire préalable, alors qu'elle était totalement libre jusque là ; passée quasiment inaperçue en 1971, cette loi fut attaquée par le Président du Sénat Alain POHER devant le Conseil Constitutionnel. Et contre toute attente, le Conseil  la censura au motif qu'elle n'était pas conforme « aux principes fondamentaux reconnus par les lois de la république et solennellement réaffirmés le préambule constitution». Dans la mesure où ce texte n'était pas inclus par la Constitution au corpus de son champ de compétence, limité aux 193 articles de la Constitution de 1958, le Conseil Constitutionnel réalisait un «coup d'état judiciaire», contre l'avis même son rapporteur, et exposait ses membres à la peine capitale pour crime contre la sûreté l' État. Mais l’exécutif resta sans réaction, la loi fut censurée, poussant le Conseil à étendre sans cesse ses domaines de compétence toutes sortes texte, prenant ainsi sur pouvoirs exécutif législatif, réalisant est devenu l'heure «république des juges", au mépris volonté populaire exprimée suffrage universel légalement parlement dirige pays bloquant tout projet réforme convient pas. Le concubinage entre cet organe, formé de neuf personnalités - en général des politiques en fin de carrière - nommés pour services rendus par le Président de la République, le Président de l'Assemblée Nationale et le Président du Sénat - dont les décisions sont définitives et susceptibles d'aucun recours, amène à des dérives terribles pour la démocratie et l’État de droit : encore une fois saisi par une organisation d'extrême gauche, il ordonna à la Cour de Cassation d'annuler les condamnations prononcées au correctionnel puis en appel contre un activiste de ce parti, passeur professionnel d'immigrés illégaux, qui allait «chasser son gibier» en Italie pour les faire entrer massivement en France, au motif que son trafic relevait du principe de «fraternité», inscrit dans la devise de la République !.

   

• Les trotskistes
  Des organisations comme la Jeunesse communiste révolutionnaire (JCR), proche de Lambert, ont continué à militer dans les milieux ouvriers et étudiants, parfois en se rapprochant du courant lambertiste
  Sept députés Démocratie libérale et un député UDF ont déposé mercredi une proposition de création de commission d'enquête parlementaire sur "les conséquences de l'infiltration de l'appareil d'Etat par des organisations extrémistes trotskistes". Déposée à l'Assemblée nationale par les députés DL François Goulard, François D'Aubert, Pascal Clément, Laurent Dominati, Nicolas Forissier et Philippe Houillon, ainsi que par le député UDF Renaud Dutreil cette proposition de résolution vise clairement, sans le nommer, le Premier ministre Lionel Jospin, dont le passé trotskiste (alias «Michel» qu'il a d'abord nié en prétendant qu'il y avait confusion avec son frère jumeau, avant de reconnaître son implication) a été rendu public récemment. "Moyens révolutionnaires" Les cinq députés soulignent ainsi que "de récentes informations publiées dans la presse française font état d'une stratégie d'entrisme pratiquée dans les années 1970" par des organisations trotskistes. Cette stratégie "avait pour but de placer aux plus hautes responsabilités de l'appareil d'Etat des personnes dont l'objectif était la destruction de cet Etat par des moyens révolutionnaires", affirment-ils. Or, "il apparaît que depuis une vingtaine d'années, un certain nombre de militants de ces réseaux clandestins sont parvenus à des postes institutionnels ministériels ou diplomatiques stratégiques", ajoutent-ils, souhaitant donc voir la représentation nationale examiner les conséquences de cette "infiltration".

 

 

• Les situationnistes
  Leur influence s'est fait sentir dans les milieux artistiques et intellectuels, notamment à travers des revues et des publications.

   

• Les mouvements féministes
  Si le féminisme n'était pas né en 68, le mouvement a pris une ampleur considérable après cette période, avec la création de groupes de femmes et la diffusion d'idées radicales.

   

• Les mouvements écologistes
  L'écologie politique a émergé progressivement, souvent en lien avec des préoccupations environnementales et anti-nucléaires.

   

Il est important de noter que ces mouvements ont connu des évolutions et des scissions au fil des années. Certains ont disparu (du moins, ont été neutralisés pour ceux préconisant assassinats et terrorisme, bien qu'en France, autour de Jean-Marc ROUILLAN par exemple, ils aient fait l'objet de traitements de faveur !), d'autres se sont fondus dans des partis politiques ou des associations, et d'autres encore ont évolué vers des formes de militantisme plus discrètes. Il est également intéressant de noter que certains individus issus de ces organisations ont par la suite occupé des postes importants dans la vie politique, culturelle ou associative française.




Sur cette base idéologique forte que suivent avec persévérance les dirigeants progressistes élus aux plus hautes charges qui exercent sans discontinuer un pouvoir complet depuis mai 2012, avec l'élection de François HOLLANDE son successeur Kéké ROSE, le danseur de claquettes, soit treize ans de direction, les résultats d'une politique dite social-démocrate pour ses défenseurs, mais de gauche extrême dans les faits avec entrisme et manipulation des trotskistes à tous les échelons de l'Etat, donnent des résultats extrêmement positifs pour les 600.000 immigrés légaux et autant d'illégaux annuels qui dépècent le pays, et moins bien sûr pour les français moyens qui paient les impôts et représentent l'économie du pays. Cette politique, dite «idéologie de la ruine», se manifeste au travers les cinq désastres nationaux que l'on peut ainsi classifier :

• La désintégration voulue et la disparition d'un Etat régalien, en matière de sécurité des français, de défense et de justice.

• La ruine économique

• La ruine sociale avec l'appauvrissement des français, l'exécution systématique d'une politique familiale et l'effondrement de la démographie, la population locale étant remplacée par les vagues d'immigration maghrébines et d'afrique de l'ouest subsaharienne de religion musulmane pour se fondre dans un ensemble "créolisé"

• La ruine diplomatique et la disparition de la voie singulière du pays, ridiculisé et humilié par ses dirigeants à l'international, conformément à l'idéologie trotskiste-lambertiste

• La ruine culturelle, avec disparition de la langue français au profit d'un «créole mélenchonien» et la promotion subventionnée par l'Etat des productions de ce «patois» obscur tel que parlé sur le marché de Bamako au Mali par des artistes ou des activistes politiques extrêmistes comme Aya NAKAMURA ou Assa TRAORE, promus par les médias de service public

 

 

 



«Black-bloc LFIste dénonçant la violence
de l'Etat policier macronien»



«Black-bloc LFIste en lutte pour
la révolution mondialiste trotskiste»



«Black-bloc LFIste résistant héroïque
aux dérives de l'État policier macronien