Jeux Olympiques Paris 2024 : souvenir, attention danger !

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Messe noire lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques

"Ces Jeux, ces cérémonies, doivent nous ressembler !"

 Emmanuel o'Micron  
Sur le plan populaire et sportif, ces jeux furent une réussite, très appréciés, tant le public fut nombreux, enthousiaste, fit preuve d'une exceptionnelle bonne humeur et joie de vivre qui enchantèrent et émulèrent par leur constante chaleur les rencontres sportives disputées ! Ce constat n'en fait que mieux ressortir la désespérante fracture existant entre ce peuple de gens "maladivement normaux, sensés, simples, chaleureux, éminemment sympathiques" (les fameux "sans dents" méprisés par les progressistes), et les pseudos élites dévoyées politico médiatiques et culturelles qui prétendent diriger le pays dans le mépris absolu pour ses citoyens et les votes exprimés lors des consultations électorales.

Cette élite organisa, avec la gabegie usuelle d'argent public du "quoi qu'il coûte", les cérémonies d'ouverture et de clôture de cet évènement mondial : en cette matière, évoquer les Jeux de Paris 2024, plus d'un semestre après leur clôture, c'est prendre le risque d'éveiller cette douleur indicible, cette humiliation nationale, cette honte d'appartenir à une Nation qui a exhibé une vision dégradante de ses valeurs ; une version inexacte, tronquée et fausse de sa diversité, de son être profond et de l'éthique autour de laquelle elle s'est rassemblée, de ses vertus et principes, de ce qu'elle est réellement et représente ; ressentir à nouveau cette désagréable et malaisante nausée apparue à la vue des cérémonies d'ouverture et de clôture, prises en otage par des minorités rassemblant activistes de gauche extrême, dites "wokes", et communautés sexuelles déviantes LGBTQIA++, agissant pour le seul service d'intérêts catégoriels minoritaires, les voulant blocs identitaires porteurs sans nuances des valeurs et de l'imaginaire conceptuel dont un peuple se rêve, se construit et vit, au mépris de plus de 1500 ans d'une histoire bannie, tellement plus riche, fascinante et variée, que le lamentable spectacle qu'il nous fut donné de voir sous une pluie battante et ininterrompue en plein cœur de l'été.

1980: une époque ancienne et révolue, où, peut-être à tort, l'amour de son pays, de ses principes, d'une langue avaient encore un sens et une valeur.
Aprés l'apocalypse o'Micron et Aya Nakamura, rien ne subsiste : souvenirs ... attention ... danger ! Serge LAMA, 6.10.1980, Editions Philips

Si la ville de Paris, par réalisme budgétaire, renaclait à l'organisation comme toutes les autres villes intéressées (New-York, Budapest, etc ...), la candidature fut imposée par Bozo le Clown 🤡, soucieux d'enfin marquer son quinquennat par un succès, dans une mer souillée de mensonges, d'échecs et de renoncements. Et cela, au prix d'un financement imposé sur le budget public (Etat et collectivités locales), donc payé par tous les contribuables, alors que seule la ville de Paris et le département de la Seine-Saint-Denis, en recueilleraient les fruits.
Mais Bozo le Clown 🤡, dans sa mégalomanie progressiste, mettait en application les stricts principes d'une économie socialiste appris lors de sa jeunesse dorée d'enfant de milliardaires, élevé dans le velours et le strass aux côtés de son ami châtelain, Laurent Joffrin : Quoi qu'il en coûte, ce n'est pas cher, c'est l’État qui paie ! Moi, ma pension de retraite elle est largement assurée !" ; et ne venait il pas, pour   séduire une actrice de second ordre et la mettre dans son lit, d'engager les finances publiques à verser plus d'1 milliard d'€ par an au bénéfice de la caisse de chômage des intermittents du spectacle, en dépit de tous les principes du droit social national qui avait pourtant érigé cette gestion en domaine réservé du paritarisme entre salariés (syndicats) et employeurs (patronat), sans intervention de l'Etat. Alors, quelques milliards de plus ... C'est évident que cette catégorie de salariés, tellement privilégiés puisqu'ils incluent traditionnellement nombre de maîtresses présidentielles, a pris en France des proportions grotesques (360.000 bénéficiaires des aides publiques), alors qu'elle n'existe même pas dans les pays européens de même importance !.

Tenu par ce projet qu'il avait encouragé et soutenu en tant que conseiller présidentiel puis ministre de l'économie, le Brutus parricide o'MICRON, dès qu'il se fut emparé du sceptre en assassinant son Père spirituel, engagea son autorité "jupitérienne" de début de mandature pour obtenir ce couronnement, d'autant plus facilement qu'il ne restait aucun autre candidat en lice et que LOS ANGELES, empêtré dans ses difficultés, opinait pour ne les organiser qu'en 2028.
En tant que progressiste, éminemment "woke" sur tous les sujets sociétaux, soutien inconditionnel et privilégié de la communauté LGBTQIA++, notamment fasciné depuis son enfance par les "trans-genres" (sa Mère, médecin, avait consacré sa carrière professionnelle à l'aide à ces personnes) et les "drag queens" auxquels il avait ouvert les portes de nos écoles pour y faire, sous prétexte de lecture aux enfants, endoctrinement à leur juste cause et au côté desquels il prenait plaisir à s'exhiber le plus souvent possible   dans l'enceinte même du Palais présidentiel, allait œuvrer pour que cet événement pécuniairement désastreux pour le budget national, satisfasse au moins le monde "woke" et son idéologie mondialiste antinationale puisqu'il se veut leur protecteur et porte drapeau, notamment les communautés sexuelles déviantes  dont il est un zélateur actif et un promoteur inlassable.

C'est en direction des électeurs de cette France nouvelle, définie dans sa note de décembre 2011 par "TERRA NOVA" comme le "LEBENSRAUM", l'espace vital d'expansion ou la social démocratie trotskiste trouvera l'élixir miraculeux de régénération éternelle, cet eldorado électoral annoncé qui doit pallier à la désertion d'un monde ouvrier passé à l'ennemi, « plus jeune, plus féminin, plus diverse, plus diplômé mais aussi plus urbain et moins catholique ».

 

UN CHOIX PRESIDENTIEL DELIBERE DE LA VOIE "WOKISTE" ET DE LA PROVOCATION PERMANENTE

 

Le choix fait par la tête de l'Etat de ce que devait être la tonalité "inclusive" des cérémonies d'ouverture et de clôture présida donc au choix des acteurs les plus à même de les réaliser : nous eûmes en conséquence nomination d'un "comité d'organisation des cérémonies d'ouverture et de clôture des Jeux Olympiques et Paralympiques d'Eté de Paris", extrêmement marqué, politiquement par son engagement "wokiste" totalitaire, son appartenance et son activisme militant pour le communautarisme "LGBTQIA++ ; Jean-Luc MELENCHON en est le parangon et le prophète, alors que se réalise sous nos yeux médusés la fin d'une civilisation judéo-chrétienne bi-millénaire, chargée d'histoire et de " crimes contre l'humanité", balayée par un peuple créolisé, crépu - basané - musulman et christianophobe -, comme annoncé, il y a déjà dix ans, dans sa   "Parabole de Rabat" ! Un monde nouveau et exaltant, purgé de ses "blonds aux yeux bleus" et de "ces normands alcooliques et illettrés" qui lui inspirent tant de haine. D'ailleurs, si tous les membres désignés avaient appelé à voter "o'Micron" lors des présidentielles de 2017 et 2022, tous - séduits par la nouvelle religion et aiguillés, telles les girouettes, par le vent dominant - avaient milité pour les candidats LFI lors du second tour des élections législatives précipitées dont le second tour venait d'avoir lieu en début de mois ! Des gens réalistes assurément !

Quand au Président, bien que parti en vacances d'été à la résidence officielle des chefs de l'Etat, "le Fort de Brégançon" dans le Var, à l'issue de la cérémonie d'ouverture, il n'hésita pas à multiplier les allers-retours aux frais du contribuable pour féliciter les athlètes français vainqueurs, partager ainsi leur gloire médiatique, et, sait-on jamais, reconquérir un peu de sa popularité laminée ?

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Teddy RINER : triple champion olympique, catégorie "toutes catégories".
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Léon MARCHAND : quadruple champion olympique de natation 2024
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Antoine DUPONT : champion olympique rugby à VII

 

 

LES MAITRES D'OEUVRE DU CARNAVAL

 

A la tête de ce prestigieux "Aéropage" officiel, gorgé à satiété d'argent public, de gloire, d'honneurs, de prestige et désormais de décorations militaires pour sa lutte héroïque "contre le fascisme et l'extrême-droite",  nous dénombrons :

Thomas JOLLY

metteur en scène à l'expérience provinciale, promu par l'élite gay parisienne, toute puissante à la Mairie, qui le décrit ainsi :
"Ouvertement gay, le normand utilise sa notoriété pour promouvoir la diversité et l’inclusion. Son approche courageuse et sans compromis en fait une figure emblématique. À travers ses œuvres, Thomas Jolly intègre souvent des thèmes liés à l’identité sexuelle et à l’acceptation de soi. Il crée ainsi des récits qui résonnent pour de nombreuses personnes. Il offre des représentations positives et complexes de l’homosexualité et du genre. Pour la programmation du Festival d’Avignon en 2018, il a proposé une large place aux représentations LGBT+. Son identité queer fait tout simplement partie de sa vie. Il rend visibilité les personnes LGBT+, communauté qui manque cruellement de représentations dans la vie de tous les jours. Ses succès culturels en font une voix puissante."
Mais, ce qui le rend singulier et unique, c'est cette propension à se victimiser lors de toutes ses interviews et sur les plateaux TV : "Thomas Jolly a été un enfant harcelé et il l'a souvent raconté. Il a été poussé dans les couloirs, enfermé dans les toilettes par les grands, déshabillé par des types qui voulaient savoir s'il était un garçon ou une fille. Il raconte :"C'est évidemment violent d'être victime de harcèlement. Mais ce qui a été surprenant, c'est que tout de suite, je me suis dit : 'Je ne corresponds pas à ton modèle, mais ce n'est pas pour autant que j'en changerai. En réalité, tu dois faire le chemin pour m'inclure dans ton monde. Si ton monde n'est pas assez vaste pour m'inclure, c'est toi qui as un problème, ce n'est pas moi'."
Et la puissance de son génie créateur, qui transparaît à travers ses productions, très conventionnelles car relevant essentiellement de l'esthétique provocatrice de la culture "gay",  est ainsi analysée dans ce milieu : "un mélange de culture française et de culture queer avec de grandes écritures, des drag queen, de la danse, du spectacle, de l’émotion… Il défie les conventions et renvoi un immense espoir pour beaucoup d’entre nous. Son inspiration queer enrichie ses créations. Une palette de couleurs qui n’ont pas fini de nous étonner. Qu’il le veuille ou non, désormais il représente une voix puissante pour de nombreuses personnes LGBTQ+."

Le tout puissant Monarque républicain l'avait voulu au début de son premier mandat, et l'avait obtenu ; désormais nu, sans majorité pour le soutenir après son caprice puéril de dissolution qui le privait de tout soutien, assumera-t-il pour une fois son écrasante responsabilité ?

Patrick BOUCHERON

"Mandarin" universitaire régnant sur l'histoire, aux côtés de Benjamin STORA dont il partage l'engagement politique, sa nuisance est redoutable puisqu'il a le pouvoir de faire censurer la publication d'ouvrages savants par de doctes confrères qui ne partagent pas ses vues. Au même titre que son collègue Hervé LE BRAS pour la démographie, il règne en "parrain mafieux" sur cette science et brise sans pitié tout avancement ou carrière de chercheurs en contradiction avec lui, notamment sur le plan politique.
Dans un article récent, le FIGARO écrit d'ailleurs : "Patrick Boucheron  a créé autour de lui un système de pouvoir et d’allégeances qu’il instrumentalise pour devenir l’historien médiatique de référence du récit postnational. "
Il appelait à voter "o'Micron" dès le premier tour des élections présidentielles 2017 et confesse son intérêt pour le président, comparé au "jeune Machiavel" ; intérêt partagé puisque ce dernier citera à plusieurs reprises BOUCHERON lors de ses prises de parole pour argumenter l'inexistence d'une histoire et d'une culture française !
Politiquement, BOUCHERON est un progressiste, très engagé à gauche évidemment ; lors de sa leçon inaugurale au "Collège de France", l'OBS titrait : Avec l'arrivée de BOUCHERON, le Collège de France vire à gauche ! D'ailleurs, pour les élections législatives de Juin 2024, il appelle à voter pour le "Nouveau Front Populaire", allié du "Bloc central" macronien, dans le très virtuel "Arc Républicain".

Histoire mondiale de la FranceC'est à l'aune de cette passion dévorante que BOUCHERON étudie et explique l'histoire ; en 2017, sous sa direction a été publiée une "Histoire mondiale de la France". Opposé au «roman national», Boucheron estime nécessaire d'« organiser la résistance face à ce type d’offensive idéologique » ; l'OBS, revue de gauche subventionnée, qualifié sa démarche de « délibérément politique ».
Le quotidien d'extrême-gauche (extrêmement subventionné !)  LIBERATION définit le livre comme étant celui d'une histoire où Frantz Fanon, Dominique de Villepin et Simone de Beauvoir détrônent Napoléon, Clovis et Jeanne d’Arc au panthéon des Grands Hommes. Il s’agit bien de produire un autre récit qui fait la part belle aux idées progressistes : métissage, égalité, mixité, ouverture…. Au point de présenter les habitants de la grotte Chauvet, il y a 34 000 ans, comme les premiers Français… issus d'une migration.
Le quotidien se demande tout de même si « en accumulant les références aux migrations, à la religion — rencontres et chocs successifs, notamment, entre christianisme et islam —, à la mondialisation et à l’écologie, Histoire mondiale de la France ne frise pas l’anachronisme. N’y a-t-il pas un risque à retracer le passé à travers les obsessions d’aujourd’hui ? »
Le but de BOUCHERON, c'est déconstruire l'histoire de la FRANCE, réduite à l'état de "convergence" de vents contraires,  où s'opposent et se lient les migrants, leurs coutumes et leurs religions qui constituent sa richesse et sa culture, puisque la culture française autochtone  n'existe pas, car simple agrégat "d'espèces exotiques envahissantes", selon la terminologie du "Conservatoire des espaces naturels" !
Ces interprétations, soutenues par l'exécutif, soulèvent cependant encore quelques protestations chez les spécialistes ; Pierre Guichard, grand spécialiste du monde musulman, regrette que la bataille de Poitiers de 732 soit présentée dans le livre comme une simple « escarmouche ». Il s'agit selon lui d'une déformation historique caractérisée, une « quasi-négation de ce qui est, qu’on le veuille ou non, un événement majeur dans l’histoire des pays de la Méditerranée occidentale au VIIIe siècle ».
L'appréciation du grand philosophe et académicien français Alain FINKIELKRAUT est quant à elle aussi précise : "L'ouvrage serait caractéristique d'un enseignement de l'histoire  que nul scrupule, nulle probité intellectuelle n'arrête, quand il s'agit de souligner les failles et les fautes de la France dans son rapport à l'altérité. L’ouvrage est un « bréviaire de la bien-pensance et de la soumission ». Il décrit ses auteurs comme des « fossoyeurs du grand héritage français, qui n’ont que l’Autre à la bouche et sous la plume , mettant en doute que le fait d'affirmer qu'il n’y a pas de civilisation française et que la France n’a rien de spécifiquement français puisse contribuer à résoudre « la crise du vivre-ensemble ».
Quant à sa négation d'un "roman national" français, dont BOUCHERON récuse avec virulence le principe dans la version présentée par la scénographie du "Puy du Fou", le créateur du "Festival", Philippe de Villiers lui a répondu directement :

L'hommage émouvant du concepteur et réalisateur du Puy-du-Fou à l'illustre historien trotskiste
De même, Éric Zemmour dans un article intitulé « Dissoudre la France en 800 pages », fait un compte rendu critique de l'ouvrage qui s'inscrit, selon lui, dans la volonté de déconstruction de notre « roman national » présente dans l'Éducation nationale depuis les années 1970. Il dénonce une histoire selon laquelle il n’y aurait « pas de races, pas d’ethnies, pas de peuple », mais seulement des « nomades », et estime que Patrick Boucheron veut « renouer avec le roman national, mais ne garder que le roman pour tuer le national. »
Le parti-pris particulier de l'ouvrage serait que « tout ce qui vient de l’étranger est bon »
Autant d'éminentes qualités qui ont valu au grand historien macronien d'obtenir des distinctions académiques et honorifiques :

Le "Carrefour de l'Horloge" lui a attribué son prix Lyssenko "pour avoir apporté une contribution exemplaire dans la désinformation historique

Pour un progressiste trotskiste, nulle récompense ou distinction ne saurait être plus gratifiante. Mais l'affection filiale présidentielle pour les thèses anti-France qu'il promeut, l'ont distingué pour superviser le récit historique des cérémonies d'ouverture et de clôture des Jeux Olympiques 2024 ; avec la propension naturelle à la modestie académique du grand intellectuel d'extrême gauche, il a pu exprimer quels étaient les hauts critères moraux qui avaient présidé à sa réflexion : "Il affirme avoir pensé la cérémonie comme une célébration de la diversité et du vivre-ensemble : Prenons la ville, et son passé, et son peuple, prenons-les comme ils sont, dans leur incroyable diversité. Nous sommes différents, mais nous ne voulons pas vivre séparés. Et contre tous ceux qui veulent nous isoler, nous diviser, nous cliver, nous disons que nous allons vivre ensemble ».

Daphné BURKI

Daphné de Marin de Montmarin, qui a conservé son nom d'épouse BURKI, est comme son nom l'indique, issue d'une famille de grande noblesse et a reçu une éducation parisienne en rapport avec son rang ; de tempérament "artiste", elle a effectué des études de styliste, où son expérience fut de brève durée puisqu'elle démissionna d'un stage chez DIOR pour intégrer CANAL PLUS.
Attirée par le monde du spectacle, elle devint présentatrice TV sur des chaînes nationales, telles CANAL PLUS, afin d'intégrer le SERVICE PUBLIC AUDIOVISUEL.
C'est là qu'elle se lia avec le milieu "drag queen", dont elle devint une égérie en présentant une émission intitulée : "Drag Race France" sur France 2, aux côtés de Nicky Doll et Kiddy Smile. C'est à l'occasion de l'une de ces émissions qu'elle eut la fierté d'affirmer sa "bisexualité" ; son caractère "wokiste", ses nombreuses participations à des actions contre l'homophobie, sa liberté sexuelle revendiquée, sa proximité avec ce monde interlope et sa proximité avec le milieu LGBTQIA++ est sans doute l'élément déterminant qui lui permit d'intégrer le "comité d'organisation des cérémonies" avec le titre prestigieux de "Directrice stylisme et costumes".
Elle a, en sus, assuré le commentaire lors des retransmissions télévisées d'ouverture et de clôture des JO, lassant les téléspectateurs par son insistance à répéter sans cesse combien les membres du comité étaient tous des "génies" dans leur partie et avaient effectué un travail remarquable, au point d'en verser une larme !.

Leila SLIMANI, Fanny HERRERO et Damien GABRIAC

Damien GABRIAC est un comédien et scénariste, très proche de Thomas JOLLY, avec lequel il travaille sur tous leurs projets ; Fanny HERRERO est une scénariste à succès, dont le travail est apprécié sur des séries télévisées comme "10%".
La plus connue est Leila SLIMANI, écrivain de nationalité fanco-marocaine, qui a obtenu le prix Goncourt 2016. Elle s'est engagée dans le combat pour le "droit des femmes", et contre l'expulsion des immigrés sans papier. Très proche d'o'Micron, elle a refusé le poste de Ministre de la Culture qu'il lui proposait ; elle l'a cependant toujours soutenu et appelé à voter en sa faveur.
Tous trois sont en charge de la mise en forme et de la rédaction des cérémonies.

Maud LE PLADEC

La Directrice de la danse pour les cérémonies des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. À l’invitation de Thomas Jolly, metteur en scène et directeur artistique des Cérémonies des Jeux olympiques et des paralympiques de Paris 2024, elle est à l’œuvre à ses côtés en tant que directrice de la danse et chorégraphe de la cérémonie d’ouverture. Sa mission est de définir l’ambition chorégraphique des Cérémonies, de créer des pièces inédites et de s’entourer d’autres grands noms de la danse pour créer les tableaux artistiques des quatre Cérémonies de Paris 2024.
Elle a dirigé pendant sept ans, de 2017 à 2024, le Centre chorégraphique national d'Orléans, et depuis janvier 2025, le "Ballet de Lorraine" ; sur un plan politique, elle n'a apparemment pas attiré - comme certains de ses collègues du Comité, l'attention des médias. Par contre, pour diriger les 1000 danseurs participants aux cérémonies, il est évident qu'une grande expérience était requise.

LE RESULTAT ET LES REACTIONS

Comme pour toutes les cérémonies officielles auxquelles participait l'ancien Président Bozo le Clown 🤡, la Providence, pour marquer sa réprobation au spectacle offensant qui lui était offert, l'a inondé durant les quatre longues heures de son déroulement : une pluie drue, orageuse, ininterrompue bien de nature à refroidir les plus chauds partisans. Bien sûr, égaler en émotion le spectacle sublime du nouveau président de la République, défilant debout en ce    15 mai 2012, à bord de sa belle berline présidentielle dont le toit était ouvert, malgré l'averse qui le mouillera jusqu'aux os et enverra son beau costume sur mesure à la benne ; dans la soirée, fier d'aller présenter dans son bel Airbus présidentiel ses lettres de créance à la Chancelière allemande et faire demi-tour après que l'avion ait été foudroyé en plein vol ; le voir, en ce 25.08.2014    en déplacement à l'Ile de Sein multiplier les bafouillages tant l'orage qui tombe à seaux embue ses lunettes, pourtant onéreuses, et l'empêche de lire son discours, constituent des moments rares de grâce et de ridicule.
Mais Bozo le Clown 🤡 est Bozo le Clown 🤡, unique et inégalable tant les humiliations qu'il a infligées à son pays durant son quinquennat sont légendaires. Mais alors, pour des progressistes "wokes", de gauche comme lui, s'il est impossible de l'égaler et plus encore de le surpasser, autant essayer de suivre son exemple !

L'hommage du magasine TETU

Avec toutes les félicitations de TETU, le magasine officiel de la communauté LGBTQIA++ et pédophile, fondé par feu Saint Pierre BERGE !
Tous les objectifs fixés ont été atteints: le danseur étoile Germain LOUVET, éminent participant à la "gay pride" de la cérémonie d'ouverture, et son compagnon, le chroniqueur Pablo PILLAUD VIVIEN, du torchon "Regards" - archétype et caricature du "bobo" bourgeois parisien [mère artiste peintre, père sculpteur qui ont élevé leur fils dans la douceur et le confort d'un appartement d'artiste parisien] qui intervient désormais en défenseur implacable des thèses de LFI, sur les chaînes d'information liées au pouvoir (BFM TV, LCI, FRANCE INFO, FR5 et nombreuses productions MEDIAWAN) pour l'accueil de toute la misère du monde et la défense de "toutes les libertés, notamment sexuelles", peuvent continuer à clamer leur amour sur tous les réseaux sociaux et à les saturer de l'exhibition de photographies indécentes de    leurs orgies gays, puisque, s'ils ne l'ont jamais rencontrée, ils n'hésitent pas à discourir sur la misère des immigrés et la nécessité de leur offrir asile, logements sociaux, soins gratuits, scolarisation, subventions pécuniaires en tout genre,  travail (mais pas chez eux, évidemment ni à proximité de leur cadre de vie, car leurs sens, notamment la vue, l'odorat et l'ouie sont particulièrement sensibles à ce genre d'exposition !!)

 

 

Naufrage sous l'orage : le crime en direct, commenté par l'assassin

Déchéance d'une Nation :
Le spectacle en mondiovision de son autodestruction et de son suicide par indigestion de ridicule,
injecté par une minorité agissante de wokistes LGBTQIA++, qui l'avaient prise en otage sacrificiel

 

Thomas JOLLY, le metteur en scène pédéraste harcelé ("J'ai été, comme beaucoup de gay ou lesbienne, un enfant harcelé : j'ai été poussé dans les couloirs, enfermé dans les toilettes par les grands, déshabillé par des types qui voulaient savoir s'il était un garçon ou une fille) qui avait donc une revanche à prendre sur ses tourmenteurs, et Patrick BOUCHERON étaient parfaitement en phase sur les valeurs cardinales et universelles que devaient promouvoir les cérémonies d'ouverture et de clôture des Jeux Olympiques, avec un budget conséquent de 200 millions d'€ de financement public :
 

Avec un tel cahier des charges, avouons qu'ils ont parfaitement réussi à remplir leurs engagements et offert au monde rassemblé une vision irénique de ce qu'est le pays : une nation que ses élites veulent "gay", comme eux !

La diversité

Des Jeux Olympiques organisés en France, toujours à PARIS, il n'y en a qu'un seul par siècle ; la "France profonde", c'est-à-dire celle qui a construit, mis en valeur et s'est battue pour le pays au fil de ses 1500 ans d'histoire, celle qui excède les limites du Boulevard périphérique parisien, n'existe plus et a été éradiquée de l'histoire par le "wokisme" !
Les seules chansons classiques françaises qui furent interprétées sous la pluie le furent par de prestigieuses vedettes étrangères :
- "Lady Gaga" est américaine, très branchée car bisexuelle revendiquée, et elle chanta    "Mon truc en plumes" de Zizi Jammaire sur des quais de Seine rendus particulièrement glissants ;
- "Céline Dion" est canadienne et n'avait pu remonter sur scène depuis quatre ans, en raison d'une maladie handicapante ; elle réunit ses forces pour chanter, depuis le premier étage de la Tour Eiffel,    "l'hymne à l'amour" d'Edith Piaf. Le contrepoint étonnant d'un frêle esquif de talent et de "normalité" navigant sur un océan de vice et de décadence ! 
- "Julie Armanet", surtout célébrée pour avoir dénié le moindre talent au trop populaire Michel Sardou, taxé de droite, put chanter, en anglais, sur un "radeau de la Méduse" dérivant sur la Seine le classique et bien-pensant    "Imagine" de John Lennon.
- Par ailleurs, malgré les protestations émanant des plus hautes instances en charge de la langue française, telle l'Académie Française, l'artiste malienne Aya NAKUMARA(naturalisée en 2017), totalement incompréhensible car sa réécriture de la langue française la rend impénétrable au locuteur francophone, interpréta - par provocation devant l'Académie française - et en humiliant la fanfare de la "Garde Républicaine" qui avait reçu ordre de se ridiculiser sur ces rythmes africains - son grand succès    "Djadja", mâtiné du "Formi Formidable" d'Aznavour, massacré.   Caprice présidentiel !

- Heavy metal et opéra :  entre la chanteuse lyrique franco-suisse    Marina Viotti et le groupe français de heavy metal Gojira, anonyme en France mais apprécié, paraît-il, aux Etats-Unis dans un genre très particulier, dans une réécriture du chant révolutionnaire "Ça Ira", avec apologie de la Terreur Révolutionnaire et de la guillotine ; l'image d'horreur de Marie-Antoinette exécutée, portant dans ses bras sa tête coupée dégoulinante de sang, depuis toutes les fenêtres sur quai du "Palais de la Cité" a beaucoup choqué

- Enfin, parce que la diversité ne saurait s'en passer, un artiste algérien    "Rim’K", de son vrai nom Abdelkarim Brahmi a entonné une chanson sans le moindre intérêt intitulée King. Mais on sait à quel point le Président tient à honorer l'Algérie !

L'inclusion

- le trouple : séquence forte de la cérémonie, le « trouple » représentait les triangles amoureux, l’un des thèmes favoris des auteurs français. Dans la bibliothèque, plusieurs œuvres ont été mises en valeur : « Romances sans paroles » de Verlaine, « Les Liaisons Dangereuses » de Pierre Choderlos de Laclos ou encore « Le Triomphe de l’Amour » de Marivaux.
- sur la feuille de route présidentielle, dans l'image qu'il souhaitait laisser à l'histoire universelle  et au monde des apports progressistes de ses deux quinquennats successifs, l'inclusion "woke LGBTQIA+" et le retournement de la société en leur faveur, reste le thème le plus porteur et important :

  • les "gays" : ce sont deux danseurs étoile de l'Opéra de Paris qui eurent l'honneur d'illustrer cette partie de la démonstration : le plus jeune, Guillaume DIOP, qui en sus présente l'immense avantage d'être le premier racisé à atteindre le niveau ultime de cette vénérable et prodigieuse institution, put exprimer tout son talent, vêtu d'une stricte jupe plissée, sur une barge amarrée au Quai de Seine.
    Son aîné, Germain LOUVET, torse nu seulement revêtu d'une paire de collants sombres, reçut un traitement de faveur, puisqu'il apparut dans toutes les parties de la scénographie, effectuant en particulier un impressionnnant "solo" sur le podium de mode inondé par l'averse.
    Germain LOUVET est un membre incontournable de la communauté, qu'il anime avec son compagnon Pablo PILLAUD-VIVIEN, incarnation éthérée et caricaturale du "bobo parisien" révolutionnaire dans son salon douillet du XVIème arrondissement, pourfendeur de l' "extrême droite fasciste" et porte-parole de LFI !

  • les lesbiennes : plus discrètes, elles brillèrent cependant au travers la séquence d'ouverture de la cérémonie avec "Lady Gaga", les commentaires dithyrambiques sur la télévision d'état assurés par la "Directrice stylisme et costume", Daphné BURKI ; et, bien sûr, assurant le rôle central de JESUS dans la fameuse CENE, la DJ Leslie Barbara BUTCH, militante lesbienne contre la grossophobie, dont la prestation méritoire fut honorée d'une vague mondiale de cyberharcèlement aggravé et menaces de mort (c'est l'incrimination de la plainte pénale qu'elle déposa ultérieurement !)

  • les transgenres : ils eurent l'avantage d'être représentés sur la piste d'exhibition par l'icône    Rayane MARTINI, femme transgenre, racisée, qui dépasse les fameuses mensurations standards, rayonnante d'élégance dans son collant intégral - combinaison délicatement coloré aux couleurs bleu - blanc - rouge.

  • les drag queens : "muses" présidentielles, qui bénéficient de par ses interventions d'avantages importants, furent indubitablement les reines de la fête :
    Kam Hugh (Camille Chailan) eut son passage éclair ; Nicky Doll (Karl Sanchez), Paloma (Hugo BARDIN) et Piche (Mike Gautier) ont eu un grand rôle puisqu’elles faisaient partie avec Barbara Butch et Gigi Palmer dans une des performances principales de la cérémonie (une version de la Cène sur un runway). Elles ont eu beaucoup de temps d’écran, Nicky a même interprété sa chanson « I Had a Dream », Piche, le drag-queen barbu, a bénéficié d' une séquence danse.



  • la pédophilie : ils ne sauraient être exclus d'une société inclusive, car trop liés à l'idéologie progressiste dont ils sont une composante incontournable :
    -- nous eûmes, pour en marquer les succés, la fameuse pétition rédigée par Gabriel Matzneff, soutenue par de nombreux politiques, artistes et intellectuels (Jean-Paul Sartre, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Gilles et Fanny Deleuze, Philippe Sollers, Jack Lang, Bernard Kouchner…) du 26 janvier 1977 publiée par LE MONDE pour exiger la dépénalisation de la pédophilie ;
    -- nous eûmes, en 1982, la mise en cause de Daniel Cohn-Bendit pour la publication d'un texte de 1975, dans lequel il expliquait : «Il m'était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : "Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m'avez-vous choisi, moi, et pas les autres gosses ?" Mais s'ils insistaient, je les caressais quand même» et la confirmation réjouie de ses propos lors de son intervention à l'émission    APOSTROPHE
    -- La même année, nous eûmes la fameuse "affaire du Coral", où sous prétexte de lieu d'accueil pour les enfants autistes et handicapés mentaux, ces mineurs en difficulté étaient ignoblement exploités par d'éminentes personnalités progressistes et se termina par la mort d'un enfant de dix ans, la tête dans un seau de javel !
    -- Et pour couronner le tout, pensons au "Cercle de la Maison Majorelle" à MARRAKECH, réuni autour du financier du PS, Pierre BERGE et du couturier pédéraste Yves Saint-Laurent, avec des personnalités aussi éminentes que les ministres Jack LANG et Frédéric MITTERRAND !!!

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    Un racisé adulte de forte corpulence exploite l'innocence d'une enfant de 10 ans, une jeune québécoise nommée Adeline Kerry-Cruz

    Pour figurer et rappeler ce souvenir tellement agréable à l'univers progressiste, l'organisation de la cérémonie d'ouverture avait programmé l'intervention d'un couple québécois, composé d'un adulte racisé obèse, alias "Junior MaddRipp" spécialiste d'une danse nouvelle, LE CRUMP, où il exploite le talent d'une petite fille innocente de 10 ans, Adeline KERRY CRUZ, dont le sort semble aussi enviable que celui de "Cosette" à l'auberge des "Thenardier".
  • le blasphème christianophobe, insultant et irrespectueux de la CENE : cette scène est désormais entrée dans l'histoire des Jeux Olympiques : elle reproduit le tableau "LA CENE" de VINCI, avec la militante lesbienne obèse Barbara BUTCH dans le rôle du "Christ", entourée de ses apôtres pédérastes et drag-queens reproduisant la position des figures du tableau, assistant immobiles et silencieux à l'interprétation par un énorme SCHTROUMPF entièrement nu et peint en bleu de l'une de ses plus lamentables et déplorables compositions : NU !

 

Le vivre ensemble

-- l'expulsion des migrants, sans domiciles fixes, dealers et usagers de produits stupéfiants vers les villes de province :
Le "vivre ensemble", c'est un voeu pieux, plein de bons sentiments tant que l'on n'a pas à l'affronter ! Anne HIDALGO, la Maire de PARIS, l'a institué en ligne de sa politique municipale, en affirmant que tous les immigrés du monde entier étaient les bienvenus à PARIS, où ils bénéficieraient de l'aide des associations subventionnés pour ne pas encourir d'expulsion, de l'aide médicale d'état, de l'aide à l'installation, et de toutes les aides possibles et imaginables - sur fonds publics - pour les aider à vivre, sans trop se fatiguer.
Mais entre les salles de "shoot", les jardins publics transformés en supermarchés de stupéfiants, les agressions commises par ceux qui ont besoin d'argent pour se fournir, les viols et autres agressions sexuelles de touristes étrangers, les ventes à la sauvette dans tous les lieux touristiques, il n'était plus possible d'accueillir le monde entier à PARIS dans des conditions décentes.
Alors, tout en restant progressistes, on purgea : aux frais du contribuable , on regroupa les immigrants illégaux et on les expatria dans toutes les villes et villages de France, sans demander leur avis aux élus ou à la population locale.
Et tout se passa trés bien à PARIS !

Les organisateurs sont-ils à blâmer pour autant ? ils étaient fidèles à "leurs valeurs", même si elles ne sont guère partagées ! C'est d'ailleurs pour cette raison qu'ils avaient été solidairement choisis par un Président de la République, fasciné par les "drag queen" et les "transgenre", et la Maire de Paris, Anne HIDALGO, (la fameuse "Cage aux Folles") redevenue espagnole sur le tard à 40 ans passés, porte drapeau des causes LGBTQIA++ et pédophile    (les conseillers municipaux écologistes ont manifesté devant l'Hôtel de Ville pour dénoncer le "pédoland" que constituait l'exécutif municipal).
Et sous la pluie, nous eûmes ce spectacle déplorable en "mondiovision", où les chaînes des pays maghrébins et du golfe, mais aussi des chaînes d'information comme CNN, durent interrompre la retransmission, alors que CBS le coupait par des publicités, tant le spectacle était jugé blasphématoire, insultant et irrespectueux pour les catholiques.
Même le pourtant très progressiste Pape communiste, et les Evêques de France, élevaient une protestation ... Mais du moment que l'islam n'était pas visé...   Chez les "wokes", on sait faire preuve de courage, notamment lorsque l'on a la conviction que l'adversaire ciblé ne pourra se défendre, paralysé par les paroles christiques énoncées lors de son "Sermon sur la montagne" : “ Ne vous opposez pas à celui qui est méchant ; mais qui te gifle sur la joue droite, tourne aussi vers lui l’autre joue. ” [* in Matthieu 5:39]

 

blaspheme

 

TEMOIGNAGES EN DIRECT DE GRANDS INTELLECTUELS FRANÇAIS

 

Philippe DE VILLIERS

gabrielle Le créateur du Puy du Fou fustige la cérémonie d’ouverture des JO, dénonçant une mise en scène qu’il juge provocatrice et woke, trahissant, selon lui, les valeurs et l’esthétique traditionnelles de la France.
La cérémonie se voulait "inclusive". Elle a seulement exclu les derniers Mohicans français qui restent attachés à une histoire de France visitée, revisitée depuis les origines par le charisme de chrétienté. Avec mon expérience du spectacle vivant, j’ai évidemment guetté le subliminal derrière les plumes roses, les jets de feu et les filets lumineux des skytracers. Par-delà les quelques passages des premières et dernières minutes entre Nadal et Céline Dion, entre valeurs de l’olympisme et évocation de la Piaf éternelle,

tout était laid, tout était woke. C’était décoiffant, déjanté, difforme, disgracieux. Nous avons acté devant le monde entier le suicide de la France, ainsi violentée, blessée, déshonorée.

Le filigrane qui courait dans la trame de la pauvre Seine offensée, qui, finalement, fut seule à tirer son épingle du jeu, c’était la déconstruction : prendre le passé et le tourner en parodie pour faire ricaner les quais du Boboland.
Tout l’appareillage de la dérision des symboles était là : le Veau d’or devant les deux Macron, le pastiche de la Cène avec les drag-queens qui festoient autour d’une eucharistie christique – un Jésus woke – qui profane le célèbre tableau du Dernier Repas, fondateur d’une civilisation.
À vrai dire, dès la première scène dans le Stade de France, tout est déjà dit par Jamel Debbouze, qui, avec une pointe d’ironie désinvolte, appelle Zidane « Jésus-Christ » ! La moquerie est à l’ordre du jour : dès cette apostrophe, on comprend que le christianisme va prendre cher. Mahomet, lui, est tranquille pour la soirée. Pas d’offense, pas d’allusion. « Respect », comme disent les jeunes. Il n’y a de blasphème et de sacrilège que sous la forme christianophobe.
Et puis, il y eut cette évocation sanglante de la Terreur, quand une diva a entamé le célèbre chant des sans-culottes qui a envoyé à la guillotine les dissidents de l’époque. Devant une Conciergerie embrasée par un retour de flamme vengeur, on nous montre Marie-Antoinette qui porte sa tête décapitée, dégoulinante dans ses mains.
Cette vision mélenchoniste fait partager au monde entier qu’en France, aujourd’hui, « l’Arc républicain » légitime la peine de mort quand il s’agit de « faire une Samuel Paty » à quiconque s’oppose à la marche de l’histoire. Il ne manquait que le sous-titre de Carrier : « Par principe d’humanité, j’ai voulu purger la terre de la liberté de ces monstres. »
Où était l’âme de la grandeur de la France ? C’était une soirée où le sang coulait dans la Seine, où le vindicatif se mêlait au festif. Ahhh, le festif ! C’était l’Amour et même la promotion du Polyamour – l’amour à trois –, avec un sommet de l’esthétique supérieur au Discobole : Philippe Katerine, en tenue d’Adam, avec la peau bleue, campé en bouffon décadent, avachi sous un pont, dans une atmosphère de bacchanale.
Il y avait de la terreur jubilatoire, mais aussi de l’orgie généreuse : l’équivoque du plan à trois, des hommes en robe et talons hauts. Des fois que les enfants regardent…
Où était l’âme de la grandeur de la France ? On a vu dix statues de femmes surgir. Il ne manquait que la patronne de Paris, sainte Geneviève. Attila s’y est opposé au Conseil de Paris. Victoire posthume. Jeanne d’Arc non plus n’était pas là, retenue à Rouen par le nouvel évêque Cauchon, le professeur Patrick Boucheron, qui préfère les voix de Lady Gaga.
En revanche, il y avait bien Aya Nakamura, qui a fait chanter "Djadja" à cette pauvre Garde républicaine qui se contorsionnait dans une danse grotesque pour célébrer la pluie qui tombait à grosses gouttes.
À la fin de toute cette scénographie, sans autre relief que la provocation, on a vu comment des esprits approximatifs peuvent sacrifier au primat de la technique, avec cet automate équinoïde en acier plastique qui avançait sur deux flotteurs trop visibles : sans doute le produit scénique d’un bureau d’études à qui on a passé une commande trop rapide.
Dans tout cela, l’émotion, la vraie, était absente. L’esthétique manquait. La Seine brassait les mascarets de la hideur et de l’inélégance, entre les vedettes sans décoration. On s’ennuyait. On n’était pas pris par le spectacle.
Pour ma part, je n’ai pas été surpris. Car l’équipe artistique avait annoncé la couleur dans le journal Le Monde : <«Nous ne voulons surtout pas d’une reconstitution à la manière du Puy du Fou. Nous voulons faire l’inverse. Surtout pas une histoire virile, héroïsée, providentielle. On veut le désordre et que tout s’entremêle. »
Que grâce leur soit rendue, ils ont tenu leur promesse. J’avais les yeux humides. Ce n’était pas la chair de poule, mais la rage. Je regardais les trombes d’eau. Le ciel de Paris déversait des larmes de tristesse sur cette pantomime. Il pleuvait dans mon cœur comme il pleuvait sur la ville : Paris humilié, Paris maculé, Paris martyrisé, mais bientôt, on l’espère secrètement, Paris libéré.

Gabrielle CLUZEL, Boulevard Voltaire, 

gabriellePrenant le monde entier à témoin, la fille aînée de l'Église a saisi l'occasion des JO pour officiellement se renier. Grimant le tableau de Léonard de Vinci, des drag-queens obèses, surmaquillées, figurant pour l’une, au centre, le Christ auréolé et, pour les autres, les douze apôtres, ont singé, hilares, la Cène.
Un homme nu peint en bleu - le chanteur Philippe Katerine -, sorte de Dionysos à la tête et au bas-ventre ceints de feuilles de vigne, était placé au milieu, sur un plat, comme s'il était la nourriture - le corps du Christ, donc - de cette parodie.
Quel rapport avec le sport, les Jeux olympiques, Pierre de Coubertin ? Aucun. Mais depuis quand faut-il un prétexte pour cracher sur les chrétiens ?
Sur son compte X, France TV écrit, enthousiaste, y voir (attention, jeu de mots) « une mise en cène LÉ-GEN-DAIRE ».
On nous explique à longueur de journée qu’en France, toutes les religions sont à égalité. Aucune n’a d’antériorité dans notre pays, d’historicité, de raison de s’imposer plus qu’une autre. Toutes logées à la même enseigne, on vous dit. Mais il n’y en qu’une sur laquelle on crache (tranquillement, car en toute sécurité) devant plus de deux milliards de téléspectateurs. Là, bizarrement, le traitement d’égalité passe à la trappe. Comme c’est bizarre. Il y aurait beaucoup à dire sur le symbole : la France piétinant la religion qui l'a fait naître - avec le baptême de Clovis -, devant les descendants des « rois catholiques » d’Espagne, Felipe et Letizia, qui n’ont pas bronché, le roi et la reine de Belgique, impassibles - qu’aurait fait, à leur place, leur oncle le roi Baudouin ? - et, plus généralement, tant de gouvernants de ce qui fut l’Europe chrétienne, comme un suicide festif en direct. Gageons que si les dirigeants n’ont pas moufté, de nombreux téléspectateurs à l’international, notamment en Asie et en Afrique, ont été profondément choqués. Les concepteurs de ce spectacle et, plus grave, ceux qui au gouvernement l’ont validé, semblent ignorer que tous les chrétiens à travers le monde ne sont pas habitués, comme nous autres Européens, à être brimés toute la sainte journée. Quant aux téléspectateurs d’une autre confession, et notamment des pays musulmans, ils n’ont vu qu’avec mépris un pays occidental s’humilier publiquement lui-même. Ils se disent amoureux de la diversité mais sont en réalité complètement ethnocentrés, et la faute diplomatique est énorme. Elon Musk lui-même a jugé que « c’était extrêmement irrespectueux envers les chrétiens ».

Marion MARECHAL

MarionMarion Maréchal a ressenti l’impétueuse nécessité de tweeter en anglais : « À tous les chrétiens du monde qui regardent la cérémonie d’ouverture et se sont sentis insultés par cette parodie drag-Queen de la Cène, sachez que ce n’est pas la France qui parle mais une minorité de gauche prête à toutes les provocations. » En effet, ce n’est pas la France, mais une minorité de gauche. Sauf qu’elle nous dirige et nous détruit.

Michel ONFRAY

michelLe philosophe n’a pas aimé la cérémonie d’ouverture des JO, qu’il qualifie de « Disneyland wokiste kitsch ». Selon lui, ce spectacle montre qu’il existe deux France : celle des élites parisiennes et celle des territoires délaissés, où la misère sociale règne. Les civilisations disparues étaient associées à des formes culturelles : la pyramide égyptienne, le Parthénon grec, le forum romain, la cathédrale chrétienne. Notre Histoire, qui se joue à l’intersection d’une civilisation qui se meurt et d’une autre qui advient, dispose également de sa signature : le spectacle de la parade qui remplace le réel par le virtuel, le tragique par le ludique, l’histoire par la fiction. Le cinéma, la télévision, les arts du spectacle fusionnent dans la Forme qui remplace les cathédrales : Disneyland. Homère, Tacite et Thomas d’Aquin sont remplacés par Mickey. La cérémonie des Jeux olympiques a en effet permis à la France de se donner en spectacle au monde entier, de faire son cinéma, d’en faire un film, de proposer son cirque – qui fut un grand moment de guignolade. L’écriture de ce spectacle par un homme blanc, quinquagénaire, judéo-chrétien fut un exercice de haine contre… l’homme blanc, quinquagénaire, judéo-chrétien ! Le tout sous l’œil des décolonialistes qui attendent leur heure, préparée par ces idiots utiles subventionnés par le contribuable. Les récentes élections ayant suivi la dissolution voulue par Macron ont eu pour résultat de faire entrer le spectacle dans l’Assemblée nationale qui est depuis devenue un territoire perdu de la République, une zone de non-droit. Le « 93 » n’a cessé d’être présenté dans ce parc d’attractions sur les berges du fleuve comme un modèle de civilisation. C’est de cette capitale plus que jamais jacobine – Ah Paris ! –, qu’un chef de l’État sans gouvernement a déclaré ouverts ces JO dont le défilé d’ouverture fut un manifeste wokiste exhibé en mondovision. La France, ce fut, dans l’esprit de Robespierre qui a plané sur cette Seine devenue scène contre la Cène, la prétendue avant-garde prétendument éclairée d’une prétendue nouvelle civilisation. Avec l’aide du Collège de France, Macron a réalisé le rêve mélenchoniste appuyé par la gauche culturelle : célébrer l’Homme nouveau, déconstruit, pour une « France nouvelle » métissée, cosmopolite, LGBTQ +, etc. Ce vendredi soir-là, c’était la Grande parade de ces nouveaux conformistes Ce spectacle a bien montré qu’il existe deux France : celle de Paris, remplie par ceux qui nous gouvernent, celle des européistes de droite et de gauche, des Insoumis aux macronistes, des sociaux-démocrates aux néostaliniens, des gauchistes aux centristes, des libres-penseurs aux imams, des trotskistes au MEDEFistes, des écologistes décroissants aux néo-communistes productivistes : ce vendredi soir-là, c’était la Grande parade de ces nouveaux conformistes. Et puis, il y a la France des territoires, comme disent les premiers en utilisant le mot des éthologistes quand ils parlent des animaux qui compissent et conchient leur espace vital. La France du petit peuple qui saute des repas, qui ne mange pas à sa faim, qui souffre la misère sociale dans son coin sans se plaindre, la France des paysans qui se pendent, des mères célibataires sous Prozac, des jeunes perdus, des travailleurs sous-payés, des étudiants crucifiés dans les petits boulots, des chômeurs et des assistés forcés à l’oisiveté qui ont regardé ce spectacle de la France contente d’elle-même, une France qui s’empiffre dans un banquet où sont englouties des sommes considérables et qui, bonne fille, autorise les gueux à les regarder bouffer dans l’un des festins du Pétrone décadent. De l’art d’en finir avec la religion ? Retenons deux moments emblématiques de ce Disneyland wokiste kitsch : cette parodie de Cène, somme toute assez veule et convenue, imagine-t-on une parodie du pèlerinage à la Mecque chez ces faux subversifs vraiment payés par l’État ? Et cette célébration de la Terreur de 1793. On ne pourra pas dire qu’on ne savait pas – ce que je dénonce en boucle depuis des années. Pas plus que je ne souhaiterais une parodie du Hadj, l’athée que je suis ne trouve aucune valeur ajoutée au blasphème, j’y verrai même plutôt une valeur retranchée à l’exercice de la raison. Je ne trouve pas heureux de vouloir substituer au Christ une femme LGBTQ + enveloppée ; c’est en audace et en courage, en subversion et en radicalité, l’équivalent en Iran ou en Corée du Nord d’un char de parade sur lequel on moque le Grand Satan qu’est l’Oncle Sam ! Tirer sur une ambulance est un signe de médiocrité, un geste déshonorant. À cette heure, cette ambulance n’est pas l’arme qui menace le plus les Droits de l’Homme dans notre pays… On aura compris qu’il faut donc en finir avec cette religion-là qui est celle de notre civilisation ! Comment ? En retrouvant la Terreur, la décapitation, le Tribunal révolutionnaire, la guillotine.
Ceux-là mêmes qui panthéonisent Badinter pour avoir aboli la peine de mort font en même temps de la guillotine un instrument de gouvernement. Attaquer le christianisme et célébrer la peine de mort contre une femme dont la seule faute fut d’être l’épouse de son royal mari, voilà bien de sinistres augures. Une dernière chose. Le diable est dans les détails. L’armée française a, hélas, été requise pour hisser le drapeau olympique. L’étendard le fut, mais à l’envers. Si quelqu’un dans la Grande Muette a voulu cet incident, c’est à mes yeux le héros de cette soirée.

 

Alain FINKIELKRAUT

alainENTRETIEN – L’académicien a regardé la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques vendredi soir. Il n’y a pas vu un spectacle grandiose mais une mise en scène obscène et conformiste.
LE FIGARO. – À travers cette cérémonie d’ouverture, «on a restauré une fierté pour ce pays, pas pour son identité, mais pour son projet politique : aller de l’avant, avec une Histoire en mouvement» a déclaré Patrick Boucheron, architecte de la cérémonie sur France Inter. Partagez-vous son enthousiasme ? Avait-elle selon vous une dimension idéologique ?
Alain FINKIEKLRAUT.- Je suis très impressionné par la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques. Il ne me paraissait pas possible, en effet, de faire pire c’est-à-dire, à la fois, plus obscène et plus conformiste, que l’Eurovision. Je me trompais : impossible n’est pas post français. « Une cérémonie grandiose qui a cassé tous les codes » titrait le journal Libération.
Remettons les choses à l’endroit : c’était un spectacle grotesque, qui, des drag queens à Imagine et de la célébration de la sororité à la décapitation de Marie-Antoinette (l’une des pages les plus glorieuses de notre histoire ) déroulait pieusement tous les stéréotypes de l’époque. Sur un point, Patrick Boucheron a raison : le génie français brillait par son absence. Je ne parle pas de la grandeur. Peu m’importe la grandeur ! Non, entre la chorégraphie horrible de Lady Gaga et les pénibles exhibitionnismes de Philippe Katerine, où étaient le goût, la grâce, la légèreté, la délicatesse, l’élégance, la beauté même ?
Entre la chorégraphie horrible de Lady Gaga et les pénibles exhibitionnismes de Philippe Katerine, où étaient le goût, la grâce, la légèreté, la délicatesse, l’élégance, la beauté même ?
Alain Finkielkraut : La beauté n’existe plus. L’heure est à la lutte contre toutes les discriminations. On a même eu droit à un plan cul à trois. Homophobe soit qui mal y pense ! et pourquoi le défilé de mode devait-il être aussi agressivement moche ? Thomas Jolly et Patrick Boucheron s’applaudissent de leur audace transgressive alors qu’ils sont les serviteurs zélés de la doxa. La nation résolument tournée vers l’avenir confie à des historiens le soin de dilapider son héritage. Le Collège de France a été longtemps un haut lieu de la pensée libre, c’est devenu le bastion de l’idéologie.
La chanteuse Aya Nakamura sortant de l’Institut accompagnée de la garde républicaine… qu’en pense l’académicien que vous êtes ?
Au diable les formes, la solennité, la raideur ! La garde républicaine a pris son pied et s’est mise sans vergogne au diapason des Indigènes de la République. Les bibliothèques elles-mêmes ont été dépoussiérées. On n’explore plus désormais la carte du tendre avec Bérénice ou avec un Amour de Swan mais avec Passion simple. Annie Ernaux a remplacé Proust et Houria Bouteldja Emile Zola. Le mot qui vient involontairement à l’esprit devant ce fiasco grandiose est celui de décadence. Que reste-t-il de la France en France et de l’Europe en Europe ? Qu’est-il arrivé au Vieux Continent ?
La diversité du monde est joyeusement engloutie dans le grand métissage planétaire. Et ce n’étaient plus les athlètes de tous les pays qui défilaient sous les yeux d’un public ravi, c’étaient les bateaux mouches avec, sur le pont, des matelots surexcités. Le déluge qui s’est alors abattu sur la Ville Lumière ne peut être qu’une punition divine. À quelque chose, malheur est bon : après cette soirée apocalyptique, je suis devenu croyant.
“Écoutez je suis en train de lire tous les tweets de l’extrême droite en PLS sur cette #ceremoniedouverture #paris2024 Je vous le confirme : elle est très réussie” a tweeté Marine Tondelier… En acceptant de critiquer cette cérémonie, ne courrez-vous pas le risque de passer pour un «facho» passéiste et ringard ?
Faire entendre une voix dissonante dans ce grand concert extatique, c’est prendre le risque d’être perçu comme un rabat-joie identitaire et rance. Me voilà rangé parmi les maurrassiens. Cette étiquette infamante témoigne de la confusion des temps. Le fils d’immigrés que je suis ne peut se résigner à l’enlaidissement et à l’avilissement de ce qui lui tient tant à cœur.
© Eugénie Bastié

Le Saint Siège et les Evêques  !

vaticanCérémonie d’ouverture des JO : le Saint-Siège «attristé» par des «allusions ridiculisant les convictions religieuses»
Le Vatican a déclaré, dans un communiqué ce samedi, «se joindre aux voix qui se sont élevées ces derniers jours pour déplorer l’offense faite à de nombreux chrétiens et croyants d’autres religions».
Certains choix artistiques de la cérémonie d'ouverture des JO de Paris continuent d’ébranler l’Église catholique, cette fois jusqu’au Vatican.
Dans un communiqué publié ce samedi 3 août, le Saint-Siège s’est dit «attristé par certaines scènes de la cérémonie» et «ne peut que se joindre aux voix qui se sont élevées ces derniers jours pour déplorer l’offense faite à de nombreux chrétiens et croyants d’autres religions».
«Dans un événement prestigieux où le monde entier se réunit autour de valeurs communes ne devraient pas se trouver des allusions ridiculisant les convictions religieuses de nombreuses personnes», condamne le Vatican. S’il assure ne pas remettre en question «la liberté d’expression», le Saint-Siège déclare qu’elle «trouve sa limite dans le respect des autres».
L’épiscopat français avait déjà pointé «l’outrance et la provocation de certaines scènes»  de la cérémonie dans un communiqué publié le 27 juillet, tout en rendant hommage à des «moments de beauté, d'allégresse, riches en émotions et universellement salués».
Ces «scènes», évoquées par les évêques de France, font notamment référence à une parodie de la Cène - le dernier repas de Jésus Christ avant sa mort - incarnée par des drag-queens en lieu et place des apôtres, et par une DJ à celle de Jésus. De nombreuses personnalités politiques de droite et d'internautes s’étaient ensuite indignées en dénonçant une «provocation», témoignant d'une mise en scène «christianophobe», «irrespectueuse» ou encore «blasphématoire».

 

Laurent GERRA, Homme de spectacle (imitateur - comique - comédien)

Laurent GERRA, Imitateur - comique - homme du spectacle et comédien au Panthéon du succès populaire français