Dans l'incroyable frénésie médiatique qui le saisit à l'approche, (certes lointaine !), des élections présidentielles 2027, les planètes s'alignent miraculeusement et se coordonnent pour entr'ouvrir dans sa "marche" (terme très populaire chez les socialistes depuis 1922 et l'exemple du camarade Mussolini !) victorieuse le fameux "trou de souris" tant attendu vers le "Reconquête" : l'ascension électorale irrépressible du "Rassemblement National", et la grande impopularité qui affecte ses héritiers naturels placés sous la houlette du "fils prodigue indigne". Bozo le Clown 🤡 ne tient plus en place ! Faute de leader progressiste crédible (puisque le "Che Guevara des Calanques", comme à son habitude, s'est opportunément suicidé, !), ses "Courtisans" - dont le grand spécialiste PS des médias, Jean-Michel Aphatie, la honte du pays basque, -, ont fait miroiter à Bozo 🤡 qu'une voie royale s'ouvrait devant lui pour être à nouveau le candidat naturel  du clan progressiste, dit "démocratique et républicain !" aux prochaines échéances présidentielles ; la qualification probable de Marine Le Pen au second tour, lui ouvrant - en rassemblant autour de lui les foules immenses et chamarrées sympathisantes du "Black, blanc, beur", "multiculturalisme", "créolisation", "CpaslIslam" et du "Padamalgam", au nom du vieux réflexe, prétendument  républicain (usé jusqu'à la corde, mais toujours efficace !) de lutte contre l’extrême droite, le fascisme, le racisme, l’antisémitisme, l'islamophobie, l’homophobie, la pedophobie, la coprophobie, la nécrophobie, la gérontophobie, la zoophobie, la nakamuraphobie, la kevin&matteo-phobie (et toutes les phobies qu’il vous plaira d'y placer, du moment que vous votez pour lui), une élection assurée vers un nouveau quinquennat !

 

 

Alors, il fait feu de tout bois ; et l'approche des Jeux Olympiques de Paris 2024 à l'été prochain constitue un prétexte de plus pour se montrer : il vient de rappeler sur les médias audiovisuels, mais aussi dans la presse écrite que l'initiative de la candidature parisienne lui revenait, et que ces jeux seraient un grand succès pour le pays, puisqu'il avait choisi les personnes en charge de les organiser  ; d'autant plus que le maire de Paris, Anne Hidalgo, tellement préoccupée du bien être de la communauté LGBT, n'avait d'autre objectif que l'organisation des "Jeux Gays" de 2018, mais était opposée à l'organisation des JO qui étaient pour elle une folie économique et financière comme elle l'avait annoncé lors d'une visite officielle à New-York en 2015 : et pour qui connaît la fiabilité d'Anne Hidalgo en matière de déficit budgétaire et de mauvaise gestion municipale, l'avertissement était plus que sérieux.
Mais, après engagement de l'Etat, aux frais du contribuable français, de couvrir tous les frais, elle avait du s'incliner et céder.
Bien entendu, toutes les villes intéressées ayant retiré leur candidature, PARIS, seul en piste,  avait été retenu sans combat pour l'honneur d'organiser les Jeux, et le contribuable français avait hérité de la responsabilité de couvrir avec de nouveaux impôts les inévitables dépassements budgétaires causés par la mégalomanie progressiste.
Depuis, outre les éternels problèmes économiques et financiers et les déficits qui ont systématiquement fait des ravages dans les budgets des états organisateurs, constatons qu'un péril, plus grand encore, n'a cessé de croître, la sécurité : avec les attentats terroristes islamistes qui ont ensanglanté le pays (souvenons nous de l'assassinat des athlètes israëliens à Munich 1972, soutenus et justifiés par Plenel), les progroms et crimes de guerre du Hamas du 7 octobre 2023, la guerre en Ukraine et les positions contradictoires adoptées par le "fils prodigue", qui après avoir intialement voulu réduire la responsabilité de l'agresseur russe en déclarant qu'il ne fallait surtout pas le provoquer, prend désormais une position totalement opposée en menaçant d'envoyer des troupes à Odessa, la tension ne saurait baisser. Pour les français, ce genre de déclarations de matamore ne revêt aucun intérêt, puisqu'elles ne sont que l'expression habituelle du "en même temps".
Mais, l'organisateur voulant renouveler l'évènement en décidant que la cérémonie d'ouverture ne se déroulerait plus dans un stade, mais consisterait en un défilé fluvial sur la Seine, long de 12 kilomètres, avec les berges pour tribunes assurant l'accueil libre de 600.000 spectateurs, on peut nourrir quelques craintes pour la sécurisation des lieux, d'autant plus que cette cérémonie fera l'objet d'une retransmission universelle.

 

Le progressisme dans toute sa mégalomanie et sa folie dangereuse dont l'initiative revient à Bozo 🤡

 

Retenons pour l'instant, alors que Bozo 🤡, le fils prodigue et la Maire de Paris se disputent déjà les bénéfices de de la réussite de l'évènement, que  le caprice déraisonnable de l'organisation revient indubitablement à Bozo 🤡, qui plastronne dans la presse et les médias audiovisuels zélateurs. Il ne manquera pas de le rappeler à l'issue des jeux, si tout se passe bien ; en cas de malheur, soyons assurés qu'il dénoncera les erreurs du fils prodigue et de son prédécesseur Nicolas Sarkozy, ainsi que l'incurie du Comité d'Organisation. Quant aux français, s'ils ne sont pas victimes innocentes d'attentats aveugles, ils devront pour le moins payer pour couvrir les déficits !. Comme d'habitude, puisque ...

Ce n'est pas cher, c'est l'Etat qui paie !