Comme chez tous les charognards, l'odeur du sang et l'approche des élections rendent nerveux le clown Bozo 🤡 ; mais l'on ne peut gloser à l'infini sur ses parades médiatiques, tant sur les chaînes de service public de FRANCE TELEVISION que sur les stations de RADIO FRANCE, toutes dévouées à sa cause, puisqu'il avait veillé à installer à leur tête des responsables qui lui sont redevables de leur carrière. Mais aussi sur certaines chaînes privées, et notamment l'apport éminent du groupe BOUYGUES au-travers l'émission de Ian BARTHES, le "bobo woke gay honteux", et celui de BFM TV dirigé par le leader de la minorité sexuelle LGBT, M.O.FOGIEL,

qui espère bien qu'une réélection de Bozo 🤡 signifierait pour lui un retour sur investissement et la légalisation de la GESTATION POUR AUTRUI pour laquelle il mène croisade et milite avec acharnement depuis tant d'années.
Mais le thème essentiel autour duquel tournent ses interminables "paonneries" radiophoniques, les émissions TV si généreusement dévouées à sa cause, et les multiples conférences où il se complaît pour satisfaire son narcissisme, (soit dans des universités, lycées ou collèges, où il est en concurrence directe avec les associations LGBTQUIA++ et les "DRAG QUEENS" venues faire l'apologie devant nos enfants de la confusion des genres et la fierté éprouvée à s'afficher progressistes, pédérastes, pédophiles ou transgenres), c'est la "Guerre en Ukraine" et l'agression de POUTINE contre cet Etat.
Il était en effet Président de la République en 2014, lors de l'invasion de la CRIMEE UKRAINIENNE, et réagit évidemment avec la vigueur qu'on attendait du "flan mou"  auquel est indissociablement lié son personnage public.
En grand politique avisé, il se plaça sous l'aile protectrice de la Chancelière allemande, et au prétexte qu'elle parlait couramment russe et discutait directement avec le tyran, il fut simple témoin de la conférence de cessez-le-feu provisoire que l'histoire retint sous le nom d'Accords de Minsk. Mais bien entendu, il fit la roue comme il sait si bien la faire sur toutes les photos officielles, et ne manqua jamais de donner son avis aux journalistes internationaux lors des conférences de presse !. Ainsi, il fut promu par Marine LE PEN elle-même, devant le Parlement européen et en présence de son mentor,    Vice-Chancelier - Administrateur de la Province France !

 

Des pages de ses "Mémoires", de ses conférences où il s'exhibe complaisamment, se dégagent deux constantes,  fort généreuses dans la bouche de leur auteur, qui traduisent bien toute l'admiration qu'il porte au tyran russe et la fascination que son personnage exerce sur lui :

• POUTINE est le plus grand menteur qu'il ait connu !

  POUTINE est un menteur inimaginable, le plus grand menteur que j'ai connu !

  serine-t-il en toute occasion. Cette appréciation prend tout son sens, lorsqu'on la rapporte bien entendu à son auteur : le milieu politique est un mileu de "menteurs pathologiques", puisque "les promesses n'engagent que ceux qui les entendent!". Dans ce milieu politique français, le plus grand et le plus incontesté, est sans conteste Bozo 🤡 tant sa carrière est témoin de nombre d'engagements non tenus, au point que le décompte en est impossible. Le jugement sur POUTINE émane donc du plus grand expert que la FRANCE ait jamais produit en cette matière et témoigne de l'infini de la création !
• POUTINE lui fait peur physiquement ! Dans un entretien pour "Brut" - le mardi 18 janvier 2022 - François Hollande répond à la question "qui était le président le plus terrifiant" qu'il ait rencontré. Il évoque le nom de son ex homologue russe, Vladimir Poutine.

  "Le président qui m'a donné l'impression la plus dure, la plus ferme, la plus cynique, c'est Vlaminir Poutine. Je l'ai exprimé d'ailleurs dès que je l'avais vu. C'est toujours la première impression qui est la bonne. Et ça ne vaut pas simplement en politique"

  Au point qu'il en tremblait encore et bafouillait son prénom

Mais ce POUTINE qui le terrorise physiquement, lui a quand même permis d'être consulté par son successeur pendant une heure, et surtout de se pavaner d'importance en sortie d'entretien devant la presse audiovisuelle ; comme d'habitude, il s'est permis de critiquer son "fils indigne", en lui reprochant de trop parler et dévoiler à l'ennemi ses intentions. Parole d'expert évidemment, lorsque l'on connaît le comportement et l'étroit concubinage entretenu par Bozo 🤡 avec la Presse lors de son quinquennat.

Les journalistes du MONDE, DAVET et LHOMME, qui vivaient en quasi concubinage avec lui, dans l'ombre présidentielle, et partageaient son intimité et quasiment son lit, ont tiré de cette longue expérience, un ouvrage majeur, devenu best-seller, après la publication duquel Bozo 🤡 fut définitivement écarté de la course à la réélection de 2017 !.

 

 

Si les journalistes faisaient correctement leur travail, (si tel était le cas, on le saurait, Mrs COHEN, APATHIE, DUHAMEL, BARBIER, DOMENACH, etc ... tous ces chroniqueurs progressistes, cireurs de chaussures des puissants et activistes propagandistes de l'idéologie dominante !), ils n'auraient pu manquer de relever l'enquête judiciaire ouverte après la publication par "Le Monde" d'un document classé "confidentiel défense" sur un projet de frappes françaises en Syrie, obtenu par les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme de François Hollande dans le cadre des entretiens qui avaient donné lieu à la préparation de leur livre "Un président ne devrait pas dire ça".
Pas plus que la procédure en destitution contre le Président de la République initiée par le député de Paris Pierre LELLOUCHE après la publication de ce livre, "les confidences concernant la défense nationale, révélées dans l'ouvrage intitulé "Un président ne devrait pas dire ça", constituant "un manquement manifestement incompatible" avec l'exercice par François Hollande de sa fonction.. Il pointait notamment "la divulgation d'opérations aériennes, celle de l'exécution décidée par le chef de l'Etat lui-même, de chefs jihadistes", ainsi que la révélation "que la France payait pour la libération de ses otages", et la divulgation "du contenu de ses conversations avec des chefs d'Etat étrangers".
Le même homme qui, sans la moindre gêne, honte ni pudeur, vient triomphalement faire la roue devant les journalistes accrédités dans la Cour de l'Elysée et tance sévèrement son successeur par ces paroles :

 

«Ma position sur les questions militaires, je l'ai montrée lorsque j'étais président, c'est que moins on en dit, mieux on agit. Ne pas dire ce que l'on fait, mais faire ce que l'on n'a pas dit, c'est ça qui permet d'avoir le plus d'efficacité et de ne rien faire connaître à Vladimir Poutine.»

Mais, après tout, comme le dit la sagesse des peuples : "Où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir !" ; et comme chacun le sait désormais, Bozo 🤡 n'en éprouve jamais !

 

Alors, POUTINE ou Bozo 🤡 pour le titre  ? Les paris sont ouverts !