En fondant son énième campagne de "reconquête du pouvoir" sur son habituelle stratégie de "sursaturation de l'espace médiatique", donc son omniprésence sur les antennes de RADIO FRANCE et les chaînes de FRANCE TV, Bozo-le-Clown 🤡 s'appuie avec confiance et assurance sur le traitement courtisan et servile qui lui sera réservé par des "journalistes" laquais, opérant plus aisément la brosse à reluire que le micro ou le stylo à la main, totalement soumis, obséquieux et complaisants à sa cause, (puisqu'ils lui doivent leur "carrière"), pour lui permettre d'exécuter en toute quiétude son numéro comique sur la piste, sans jamais avoir à craindre la moindre question embarrassante relative à son bilan dramatique, ni opposé le moindre contradicteur.
Comme chez tous les charognards, l'odeur du sang et l'approche des élections rendent nerveux le clown Bozo 🤡 ; mais l'on ne peut gloser à l'infini sur ses parades médiatiques, tant sur les chaînes de service public de FRANCE TELEVISION que sur les stations de RADIO FRANCE, toutes dévouées à sa cause, puisqu'il avait veillé à installer à leur tête des responsables qui lui sont redevables de leur carrière. Mais aussi sur certaines chaînes privées, et notamment l'apport éminent du groupe BOUYGUES au-travers l'émission de Ian BARTHES, le "bobo woke gay honteux", et celui de BFM TV dirigé par le leader de la minorité sexuelle LGBT, M.O.FOGIEL,
En sus du jeu de dupe irresponsable d'un Chef de l’État, qui méprise et se joue de la Constitution avec la rouerie et le vice d'un joueur de bonneteau, elle affirme une nouvelle fois que le "Juge" constitutionnel,
Assister, impassible, à la déroute, (le terme "bérézina" serait plus adapté en ce cas), de la politique étrangère française, ridiculisée sur tous les continents, notamment sur les théâtres où son histoire lui avait légué une influence majeure ; la voir désormais bafouée, insultée, humiliée, souillée, maltraitée, expulsée par n'importe quelle baderne alcoolique et corrompue s'emparant du pouvoir par un coup d'état militaire pour s'enrichir personnellement en pillant son pays, ne peut laisser indifférent :
Ayant, entre autres, hérité du surnom de "L'INCRUSTE" tant sa présence obsédante sous les flashes des "tapis rouges" de tous les événements mondains où se produisent les intermittents du spectacle subventionnés par l’État et les Ministre de la Culture progressiste qui n'ont d'autre moyen de rappeler le bilan d'une oisiveté ministérielle à électroencéphalogramme plat, FLANBY n'apparaît désormais plus que dans les revues "people" en tant qu'accompagnateur de la productrice et actrice Julies GAYET, toujours puissamment associée au CNC et aux très généreuses subventions publiques versées pour ses productions cinématographiques,
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