Harlem Désir, la mue de la chrysalide "agit-prop" en "apparatchik"

harlemCe personnage apparaît sous les feux médiatiques avec la présidence de François Mitterrand, qui va instrumentaliser cet "agit-prop" lors de la première cohabitation pour combattre la politique suivie par Jacques Chirac, vainqueur des élections législatives de 1986, et bloquer les réformes voulues par son Gouvernement,

en faisant descendre dans les rues de manière récurrente pendant plusieurs semaines avant les vacances pascales des centaines de milliers d'étudiants, lycéens et collégiens, marionnettes inconscientes des pièges ourdis par le vieil Machiavel pour affaiblir son adversaire et assurer sa réélection triomphale de 1988.
Harlem Désir n'a d'autre mérite patent que ce talent d'agitateur et d'organisateur de troubles sociaux, révélé lors de son adhésion au syndicat étudiant trotskiste UNEF-ID (disparu en 2001) au sein duquel il se lie avec des personnalités comme J Le Guen, J.C.Cambadelis et Julien Dray, qui feront également carrière en politique au sein du mouvement crée par leur mentor.
Leur syndicat ayant pris le contrôle de la mutuelle étudiante MNEF, ils connaîtront, avec Dominique Strauss-Kahn déjà, qui dut pour cette affaire démissionner de son poste de Ministre en 1998, quelques déconvenues judiciaires pour les détournements imputés à la direction, dont bénéficieront les caciques trotskistes avant qu'ils ne rejoignent le PS. Mais son titre de gloire est évidemment lié à la Présidence de l'Association SOS RACISME qu'il assura depuis sa création et aux troubles permanents dont elle fut à l'origine, avec la bienveillance de la Présidence de la République, pour paralyser le pays sous prétexte de lutte contre le Front National et de montée du fascisme et du racisme lors des périodes de cohabitation.

Agitateur propagandiste pour le compte du pouvoir en place, il assura avec zèle la mission confiée, au prix de la trahison de la confiance insouciante de ses jeunes troupes, utilisant jusqu'à des collégiens de 12 ans manipulés par les syndicalistes professionnels de l'Education Nationale, à l'insu de leurs parents, pour bloquer des réformes voulues par un Gouvernement, qui recula systématiquement face à cette agitation permanente, au nom de la "paix sociale".
La réélection de Mitterrand en 1988 assurée, avec une Assemblée Nationale socialiste pour cinq ans, il était temps pour le trotskyste notabilisé de se caser en politique  et recueillir les fruits de son labeur ; ne doutant de rien, et surtout pas de son charisme ni de ses talents oratoires d'Agit-prop, il créa d'abord, et sans succès, un parti politique, le MOUVEMENT, qui faute d'adhérent se transforma en club de réflexion lorsque Harlem Désir se découvrit une âme écologiste et adhéra à Génération Ecologie pour se présenter aux législatives de 1993. Le score déplorable qu'il obtient traduit bien la confiance dont il jouit dans le pays ; il se fit remarquer à cette occasion en refusant de soutenir le candidat socialiste l'ayant précédé au premier tour.
Mais six mois plus tard, ses convictions avaient évolué, et il adhère fin 1993 au Parti Socialiste, vilipendé quelques mois plus tôt, dont il devient un cacique en intégrant le Bureau National avec ses amis trotskistes ; il ne le quittera plus puisqu'il sera élu à la proportionnelle sur les listes présentées par ce Parti au Parlement Européen et continuera discrètement son ascension au sein de l'appareil. Ses anciennes dérives de SOS RACISME le rattrapent cependant en 1998, ainsi que le décrit l'encyclopédie Wikipedia, pour avoir indûment perçu, en sus des avantages liés à la Présidence de SOS RACISME, de forts salaires de complaisance d'une pseudo association basée à Lille, qui lui vaut une condamnation à 18 mois de prison avec sursis et 30.000 francs d'amende ; poursuivi pour une dette de 80.000 francs par le Trésor Public pour amendes de stationnement non réglées, il avait bénéficié d'une opportune amnistie de son mentor François Mitterrand.
C'est donc dans la discrétion qu'il poursuit dans les années 2000 son parcours d'apparatchik socialiste et son mandat d'élu européen ; lorsque Martine AUBRY se lance dans les primaires pour la désignation du candidat socialiste à l'élection présidentielle de 2012, elle le désigne comme Premier Secrétaire par intérim. Battue aux primaires, elle se rallie à François Hollande, et annonce son intention de quitter son Poste après les élections. Elle démissionnera effectivement, mais lèguera son poste à son protégé Harlem Désir, qu'elle a choisi pour successeur, et qui n'aura même pas à se présenter devant le vote des militants puisque ce vote démocratique a été judicieusement abandonné par le PS au profit d'un système de motions, le premier signataire de la motion vainqueur, étant désigné Premier Secrétaire. Merci à Martine Aubry et Jean-Marc AYRAULT qui ont fait ce cadeau à Harlem Désir.
C'est donc le Premier Secrétariat d'un Parti vidé de tous ses ténors, appelés à des tâches gouvernementales, qu'exerce pour le moment Harlem Désir ;  malgré son passé judiciaire, il se fait surtout remarquer par les leçons de morale qu'il se permet d'administrer à ses adversaires, et ce sans ironie. Epargné jusque là, il ne fait nul doute que ces épisodes réapparaîtront opportunément sur le devant de la scène s'il persiste dans cette voie qui pour le moment ne provoque que sourire ! Dans la mesure où des rapports officiels pointent le mauvais suivi sanitaire et dentaire des étudiants français pour des problèmes financiers, la question de l'utilisation par les Mutuelles Etudiantes contrôlées par les syndicats de gauche des fonds qu'elles ont dilapidé ne manquera pas de ressurgir !


Le Premier Secrétaire du PS est pince-sans-rire !

 Mais pour l'instant, ses camarades socialo-gays versus "people - bobo" l'habillent chaudement pour l'hiver en se riant des raisons qui ont motivé sa nomination au titre de Premier Secrétaire du PS par la Garde Prétorienne de FLANBY !

On n'est jamais aussi bien servi que par ses amis !

 

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